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  1. Bonjour et merci pour votre participation, Pour recadrer plus précisément ma question: celle-ci ne porte pas du tout sur les jetons fourrés (innombrables et divers) mais sur le lien entre ce grand concours lyonnais et le petit parisien donc sur l'historique de ce jeton. Je ne connait pas la période d'activité de "CARTAUX" , je n'ai rien trouvé sur le sujet et je suis preneur pour toute info. Effectivement le type au génie n'a pas du être utilisé après 1898 car c'est la dernière année de frappe de la 20 fr OR à ce type mais la sté Cartaux produisait déjà des jetons similaires bien avant cette date. Pour exemple: https://www.ebay.fr/itm/1892-Souvenir-Nice-France-Carnival-Cartaux-Bronze-Medal/392570521095 On peut donc déjà dater ce jeton de 1898 ou une date antérieure. Éplucher 22 années du journal au lieu de 69: c'est mieux mais je ne suis pas sur de me lancer. J'attend encore un peu, la réponse à ma question de départ est peut-être cachée quelque part...
  2. Bonjour à tous. Un petit jeton qui se présente tout seul mais qui me pose problème malgré tout. Qui pourrait me dire quand eu lieu ce "Grand concours lyonnais" et un grand concours de quoi? Et puis Lyonnais et Parisien , quel rapport ? Ce journal quotidien "Le Petit Parisien" fut édité pendant 69 ans du 15/10/1876 au 17/08/1944 ce qui représente 24477 numéros tous disponibles sur gallica.bnf.fr ! Ce jeton en laiton fourré, fabriqué par Cartaux, mesure 22 mm pour un poids de 1,2 g. J'ai vu qu'il existait sur le même type, même diamètre et pour le même journal , un jeton "Grand concours de la frontière" avec un 1er prix de 10 000 fs mais il en existe peut-être d'autres . Qui donc pourra m'éclairer sur ce jeton lyonnais ou parisien, Merci pour votre aide.
  3. Bonjour , J'ai ce médaillon depuis plusieurs année et je n'ai toujours pas d'indice pour son identification. Je pensais tout d'abord à une inspiration romaine mais la présence à l'exergue, au pied du personnage, de ce qui semble être une date en chiffre romains mais peu lisible: .MCC...II., ne va pas dans ce sens. Le personnage s'appuie de sa main droite sur un bâton d'une forme assez particulière(qui pourrait peut-être aider à l'identification) A sa gauche et accroché au drapé de son vêtement ou à son bras j'y vois ce qui me semble être un petit singe. Inscriptions: . IN . IVSTE . EXTINGO . R . . OPVS .-------. SPERANDEI . (sans garantie ) En exergue une date: MCC....II.. Ce médaillon est en cuivre , fonte originale ou le résultat d'une galvanoplastie ce qui pourrait le dater de la fin du 19ème? D'un module de 82/83 mm pour un poids de 43,35 g. Tout renseignement sera le bienvenu. Merci à tous
  4. Bonjour à tous, Je découvre aujourd'hui ce sujet qui ne me semble pas avoir obtenu les réponses souhaitées. J'ai trouvé en 2009 un exemplaire de ce jeton, en laiton, 35 mm et de 9,41 gr et chiffre "10" en surfrappe donc le même qu'ici. Cette pièce est à classer dans les monnaies de nécessité. Roland Elie dans l'édition de 2000 de son catalogue a répertorié un exemplaire en aluminium sous la référence N15-1, même valeur avec toujours le chiffre 10 en surfrappe, pas d'autres valeurs ni autre métal répertoriées. Ma découverte m'a incité à consulter ,aux Archives de Lyon, différents annuaires commerciaux. -Dans l'Indicateur FOURNIER de 1926 j'ai trouvé à la rubrique "Poissons et Marée" Commerces de détail, une enseigne commerciale ""Criée Libre"" , 13 bis quai de Retz( actuel quai jean Moulin) au nom de "" HUMBERT et BOUYSSOU"" ......c'est la seule référence commerciale que j'ai trouvée ou l'on retrouve le nom et les initiales..... -Dans l'Indicateur Lyonnais HENRY, rien aux années 1921, 1922, 1924 mais en 1934, au 14 quai de Retz, pour le commerce de poissons, un ""BOUYSSOU et Cie"" mais pas de référence à une Criée. Si l'on admet que ce jeton correspond à Humbert et bouyssou on peut également proposer une datation entre 1926 et 1934. Je n'ai pas de meilleures identification à proposer aujourd'hui.
  5. Bonjour, Peut-être y a-t-il d’autres références documentaires sur les jetons de cette période mais je n’en connais pas. -Quelques précisions complémentaires à propos de ce jeton : Tout d’abord avec cet aspect « blanc » il est soit en argent soit en étain ; facile à vérifier car le rendu sonore est bien différent (son clair pour l’argent et son mat pour l’étain) et la densité de ces métaux n’est pas du tout proche. Il pourrait être en cuivre argenté mais le poids de 11,6 g me semble trop fort : j’ai un exemplaire en cuivre qui pèse 9,8 g. -Quelques commentaires concernant les légendes : Avers : -LECE DUCE COMITE JUSTITIA, la devise des avoués : elle semble spécifique aux avoués de Lyon. Je n’ai pas trouvé de document le confirmant mais je ne l’ai vue mentionnée que sur les jetons de cette ville. - ‘’ An VIII ’’ à l’exergue : c’est par la loi du 27 ventôse de l’an VIII (18 mars 1800) que s’établit l’organisation des tribunaux. Les articles 93 à 95 sont relatifs à la création, au rôle et à la nomination des Avoués. Revers : L’arrêté du Gouvernement du 13 frimaire de l’an IX (4 décembre 1800) est relatif à l’établissement et à l’organisation des chambres des Avoués. -Concernant l’indication ‘’C9 doré’’, je ne suis pas vraiment d’accord avec l’interprétation qui en a été faite. Feuardent donne son explication dans le tome 1, au dernier paragraphe de sa préface (page XIII). Pour résumer : ‘C’ pour cuivre, ‘9’ pour le module de la pièce suivant les mesures données par l’échelle de Mionnet. Il y a aussi ‘AR’ pour argent, OR…etc. Cette échelle de mesure est rappelée en fin de chaque volume. Son catalogue était le reflet de sa collection, il n’a donc eu pour ce jeton qu’un exemplaire en cuivre doré. Sauf erreur, Feuardent ne donne pas d’indications de valeur ni indices de rareté. Comme bon nombres de corporations, les avoués ont souhaité faire frapper des jetons pour leur usage interne avec, pour celui qui nous intéresse, les dates qui rappellent la création de leur corporation, celui-ci serait donc le premier. Pour Lyon, j’en connais plusieurs qui ont suivi, tous non datés, sauf un en 1851. Souhaitant vous avoir été utile.
  6. Bonjour, Sauf erreur de ma part, répertorié par Jean Tricou dans Les jetons consulaires de Lyon sous le n° 56 , dans le corpus du Dr Corre sous le n° 4050, Feuardent n° 10536 Cordialement
  7. Bonsoir, Le "spécialiste" ne peux que confirmer ce qui a déjà été écrit précédemment . Il s'agit bien d'un jeton lyonnais; jusqu'en 1789 la ville était administrée par un Prévôt des Marchands (la Maire actuel) et 4 Échevins (les conseillés municipaux). Le prévôt était nommé pour 2 ans. Quelques exceptions cependant comme Laurent Dugas qui exerça cette fonction pendant 6 ans de 1725 à 1730. Les échevins étaient nommés pour 2 ans et renouvelés 2 par 2. Les 3éme et 4éme d'une année devenant les 1er et 2ème de l'année suivant. Ils n'étaient pas rémunérés en espèces mais recevaient en début de mandat une bourse de 100 ou 120 jetons d'argent à leurs armes (l’accès à la fonction municipale leur conférait le titre de noble)-Des jetons de cuivre étaient également distribués. On trouve de nombreux assemblages de coin réunissant les armes du prévôt, les armes de la ville et celles des quatre échevins. Pour revenir à votre jeton je dirais qu'il est authentique. Je n'ai pas connaissance de faux dans ce domaine (au moins pour Lyon)-le marché de ces jetons est assez restreint et je ne pense pas qu'un faussaire puisse y trouver son compte contrairement à la Monnaie. Vraisemblablement en argent (tranche cannelée ou striée), la tranche des jetons de cuivre est lisse et souvent d'"aspect irrégulier. la brillance pourrait être due à un nettoyage malheureux de l'ancien propriétaire. Nous avons donc les armes du prévôt et au revers celles des quatre échevins de l'année. " D Ln" pour de Lyon par manque de place peut-être ou parce que cela devait être évident pour le graveur! Répertorié entre autre dans le Corpus de Jetons Armoriés du Dr CORRE sous le n° 1653 Souhaitant vous avoir été utile. Amicalement
  8. Bonjour, Ce jeton est répertorié par Roland ELIE dans "Monnaies de nécessité et jetons-monnaie " période 1800-2000 édition 2003, sous le n° 65.3 pour le cuivre. Il lui donne une cote estimative entre 20 euros ( état TB à TTB) et 30 euros ( état SUP) R.Elie ne signale pas la petite contremarque que l'on distingue mais que je n'identifie pas au vu de la photo; mais peut-être cela a t-il fait l'objet d'un additif dans un des bulletins mensuel de l' ACJM (association des collectionneurs de jetons-monnaie dont R.Elie est un des initiateurs) Amicalement
  9. Bonjour, François Lumague échevin de la ville de Lyon en 1663/64. sans vouloir offenser, je trouve que l'estimation proposée par ALM est beaucoup trop élevée en regard de la rareté relative de ce jeton. Il suffit de voir les prix atteints sur ebay qui n'est pas forcément le meilleur référentiel ( surtout pour les marchands) mais qui draine énormément de collectionneurs/acheteurs. A+
  10. Bonjour, Ce jeton est une refrappe du 19ème, il doit comporter un poinçon sur la tranche souvent peu visible dans les stries. j'en possède 2 de cette série et le poinçon est CUIVRE et abeille donc une frappe de 1860/1879. Jean TRICOU dans sont étude sur la "Numismatique des Corporations des Métiers et du Commerce Lyonnais de l'Ancien Régime" publié en 1957 écrit ce qui suit: "Les coins péciaux de la Chambre de Commerce de 1704,1705,1707,1709,1713,1715 à 1718 existent encore à la Monnaie. Un numismate lyonnais du XIXè s , Auguste Dèriard les a fait refrapper... avec le revers aux armes de Lyon gravé par Duvivier en 1745(DV dans le champ) dont le coin est demeuré également à la monnaie. Ces jetons apogriphes sont en cuivre argenté ou bronzé..." Les jetons d'époque sont frappés en association avec le coin ou figure le Rhône et la Saône assis sous le blason de Lyon , voir http://www.cgb.fr/monnaies/jetons/j19/f ... &nbfic=725 Amicalement
  11. Bonjour, Je tombe par hasard sur le sujet et voudrais tenter de répondre à la question de départ de freenumis84. Oui ce sont bien tous des jetons lyonnais ou tout au moins des reproductions de jetons, il y a des droits et des revers. Au risque de vous décevoir, Je ne suis pas d'accord avec la position du marchand "inumis" qui les qualifie d'essais,les professionnels sont certainement très qualifiés mais ils ne peuvent pas connaitre à fond tous les domaines de la numismatique. Le problème c'est que les thèses qu'ils mettent en avant servent de référence .Une seule vente ne peut pas servir de référence, il faudrait voir sur plusieurs . Je n'ai pas de prétention dans ce domaine mais le sujet me passionne depuis des années. je vais essayer d' expliquer mon point de vue. Tout d'abord il faut savoir que les jetons originaux appelés Jetons Consulaires du nom du gouvernement lyonnais formé jusqu'en 1789 par un Prévôt des Marchands et 4 Échevins existent en argent et cuivre;la plus part du temps une face aux armes du récipiendaire (le droit) et de l'autre à celles de la ville (le revers) de l'année de frappe et de temps en temps aux armes des 4 échevins du moment comme on peut le voir sur vos pièces datées 1711,1707,1703 et 1699. Tous ces jetons ont été étudiés par de grands numismates. Le plus proche de nous, Jean TRICOU, a beaucoup travaillé sur la numismatique lyonnaise et épluché pour ce faire les archives de la ville. Pour les jetons qui nous intéressent, il fit état de ces travaux dans "LES JETONS CONSULAIRES DE LYON" publié chez Emile BOURGEY en 1955 . Revenons à vos jetons, quelques uns sont signalés par Tricou comme "refrappe uniface moderne" que l'on peut situer fin 19ème . J'ai constaté que pour tous les jetons que l'on trouve actuellement en version uniface, Tricou indique que le Coin du droit (ou du revers) est au Musée de Lyon. J'ai constaté également que pour ces jetons unifaces l'original en frappe d'époque ne semble pas être connu (sauf pour certains qui ont pu être retrouvés depuis cette publication). On pourrait donc en déduire que ces jetons ont put été refrappés pour des collectionneurs disposant de certains moyens financiers. Seule une étude des archives de la Monnaie de Paris pourrait le confirmer sauf bien sur s'il s'agit de frappes faites par un atelier local, ce qui est possible. Peut-être des donations au Musée ont-elles facilité la sortie des coins! Pourquoi je pense qu'il ne s'agit pas d 'essais: -Ces coutume de faire frapper des jetons coutaient très cher à la ville. Les charges de Prévôt et d' échevins étaient honorifiques, et cela leurs permettaient d'accéder à la qualité de "NOBLE" , ils touchaient une gratification sous forme de jetons à leurs armes. -Les échevins étaient en charge pour 2 ans et étaient renouvelés 2 par 2 tous les ans. Une distribution était donc faite tous les 2 ans en début de charge pour que chacun en bénéficie: une bourse de 100 ou 120 jetons d'argent à ses armes et une de 100 en cuivre. -J'ajouterais que les flans sont beaucoup trop réguliers par rapport aux flans des originaux d'époque. Si pour la totalité des personnes gratifiées par la ville( Gouverneur, intendant, secrétaire, évêque ...y compris les échevins ) cela pouvait atteindre plusieurs milliers de jetons suivant les années on voit que par individu cela représente bien peut. On voit mal dans ces conditions que l'on ai procédé à des essais tout à fait inutiles et couteux. Concernant la rareté de ces jetons, difficile de se prononcer sans document de référence.Je n'en avait pas vu depuis des années mais ils semblent ressortir depuis quelques temps. Vous même avez 2 exemplaire du jeton Pierre Bourgelat, un exemplaire vendu par Inumis, et un ex mis en vente puis retiré sur eBay c'est beaucoup en même temps pour ce type de jeton. http://www.ebay.fr/itm/130563319883?ssP ... 1438.l2649. voir également un idem au votre revers 1911 http://www.ebay.fr/itm/130563340030?ssP ... 1438.l2649 Concernant leur valeur...ils ne peuvent avoir que celle que les collectionneurs sont près à leur donner. J'arrêterais là mon propos en espérant ne pas avoir été trop long et ennuyeux mais ces jetons lyonnais m' intéressent beaucoup et je les collectionne depuis plus de 35 ans. A votre disposition. A+
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