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Ecu34

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  1. Ou alors, le vendeur (professionnel) utilise cette annonce pour se faire un peu de publicité...
  2. Ecu34

    1718 écu (2 exemplaires)

    Merci pour ton message personnel. :oops: Il y a d'autres monnaies à venir... et quelques raretés. Je ne montrerai pas les plus "classiques" sur le forum, puisque tout le monde les connait et qu'elles ne présentent pas d'intérêt numismatique. Par contre, il faut que je m'améliore au niveau des photos : j'ai photographié les monnaies en pleine lumière, mais je n'arrive pas à les mettre vraiment en valeur, avec leur patine. Elles sont plus belles en réalité.
  3. Une curiosité de ma collection : un Ecu de France fauté. Dans la légende d'avers, on peut lire "FR.FT.NAV" (au lieu de "FR.ET.NAV"). D'après le numismate professionnel qui a examiné la monnaie, il s'agirait du seul exemplaire connu à ce jour, issu de la collection SOBIN. Cette monnaie est répertoriée sur le "Gadoury - Monnaies Royales" (éditions 2001 et 2012). Par contre, l'ouvrage "Les monnaies des quatre Rois Louis" (édition 2012) ne mentionne pas son existence. Ecu de France, deuxième réformation (trèfle sous le buste du Roi), avec «FT» à l'avers. Année 1721. Atelier de LA ROCHELLE (lettre H au revers, à la pointe de l'écu). Argent 917/1000. Diamètre 39 mm. Poids théorique 24,47 grammes. Poids réel 24,19 grammes. Tranche en relief, «DOMINE SALVUM FAC REGEM». Fabrication en 1721, à La Rochelle seulement. Tirage : inconnu (seul exemplaire répertorié). A titre de comparaison, voici le deuxième Ecu de France de ma collection (avec la légende "normale") : Ecu de France, frappé sur flan neuf. Année 1723. Atelier de LYON (lettre D au revers, à la pointe de l'écu). Argent 917/1000. Diamètre 38 mm. Poids théorique 24,47 grammes. Poids réel 24,41 grammes. Tranche en relief, «DOMINE SALVUM FAC REGEM». Fabrication de 1720 à 1724. Tirage : 80 764 exemplaires (ref : Gadoury 2001).
  4. D'où vient l'appellation d'écu "Westphalien" ? Comme pour l'écu Vertugadin, deux versions existent pour cet écu de Louis XV : - la version classique, avec "LVD.XV" dans la légende d'avers. - la variante de l'atelier de Lille, avec "LUD.XV" dans la légende d'avers (avec un "U" à la place du "V"). Quelques photos : Ecu de France - Navarre : Ce millésime n'est pas rare, mais il est dans un bel état de conservation. Le poids réel correspond au poids théorique. Ecu de France-Navarre, dit «Ecu westphalien». Année 1718. Atelier de PARIS (lettre A au revers, à la pointe de l'écu). Argent 917/1000. Diamètre 37 mm. Poids théorique 24,47 grammes. Poids réel 24,48 grammes. Tranche en relief, «DOMINE SALVUM FAC REGEM». Fabrication de 1718 à 1720. Tirage : 7 443 000 exemplaires (ref : Gadoury 2001). Ecu de France Navarre de l'atelier de Lille : Ecu de France-Navarre, dit «Ecu westphalien», variante «LUD» dans la légende d'avers. Année 1718. Atelier de LILLE (lettre W au revers, à la pointe de l'écu). Argent 917/1000. Diamètre 38 mm. Poids théorique 24,47 grammes. Poids réel 24,23 grammes. Tranche en relief, «DOMINE SALVUM FAC REGEM». Fabrication de 1718 à 1719, à Lille seulement pour cette variante. Tirage : 568 500 exemplaires (ref : Gadoury 2001).
  5. Ecu34

    1716 écu

    Deux versions existent pour cet écu du début du règne de Louis XV : - la version "normale", avec "LVD.XV" dans la légende d'avers. - la variante de l'atelier de Lille, avec "LUD.XV" dans la légende d'avers (avec un "U" à la place du "V"). Quelques photos : Ecu Vertugadin : Ecu vertugadin, première réformation (rosette sous le buste du Roi), avec cassure de coin à l'avers. Année 1716. Atelier de MONTPELLIER (lettre N en bas au revers). Argent 917/1000. Diamètre 43 mm. Poids théorique 30,59 grammes. Poids réel 30,33 grammes. Tranche en relief, «DOMINE SALVUM FAC REGEM». Fabrication de 1715 à 1718. Tirage : inconnu (ref : Gadoury 2001). Ecu Vertugadin de Lille : Ecu vertugadin, frappé sur flan neuf, variante «LUD» dans la légende d'avers. Année 1716. Atelier de LILLE (lettre W en bas au revers). Argent 917/1000. Diamètre 41 mm. Poids théorique 30,59 grammes. Poids réel 30,31 grammes. Tranche en relief, «DOMINE SALVUM FAC REGEM». Fabrication de 1716 à 1718, à Lille seulement pour cette variante. Tirage : 85 248 exemplaires (ref : Gadoury 2001).
  6. C'est le dernier écu du règne de Louis XIV. Produit de 1709 à 1715, il est considéré par certains numismates comme l'une des plus jolies monnaies du Roi Soleil. La version du Béarn bénéficie d'une belles côte, alors que sa qualité de frappe ou de conservation est souvent médiocre. Voici les miens : Ecu aux trois couronnes : Ecu aux trois couronnes. Année 1710. Atelier d' AMIENS (lettre X au revers, au centre de la monnaie). Argent 917/1000. Diamètre 40 mm. Poids théorique 30,59 grammes. Poids réel 30,22 grammes. Tranche en relief, «DOMINE SALVUM FAC REGEM». Tirage : 636 974 exemplaires (ref : Gadoury 2001). Ecu du Béarn aux trois couronnes : Ecu de Béarn aux trois couronnes, légende «NA.RE» à l'avers. Année 1709. Atelier de PAU (vache au revers, au centre de la monnaie). Argent 917/1000. Diamètre 39 mm. Poids théorique 30,59 grammes. Poids réel 29,49 grammes. Tranche en relief, «DOMINE SALVUM FAC REGEM». Tirage : 253 000 exemplaires (ref : Gadoury 2001).
  7. Une monnaie rare, difficile à trouver dans n'importe quel état de conservation. On distingue encore les feuilles de la couronne, dans la chevelure du Roi. Ecu aux huit L, deuxième type, tête laurée, avec le «5» de la date refrappé sur un «4». Année 1705. Atelier de PARIS (lettre A en bas au revers). Argent 917/1000. Diamètre 40 mm. Poids théorique 27,45 grammes. Poids réel 27,14 grammes. Tranche en relief, «DOMINE SALVUM FAC REGEM». Fabrication à Paris de 1704 à 1706, et à Nantes de 1708 à 1709. Tirage : 43 785 exemplaires (ref : Gadoury 2001).
  8. Au début du 18ème siècle, les écus de l'atelier de Lille se démarquent des productions des autres ateliers par leur variante d'effigie du Roi à l'avers : en effet, sur les écus aux insignes et les écus aux huit L (deuxième type), on retrouve le portrait de Louis XIV tel qu'il existait sur les écus aux palmes (c'est à dire avec toutes les mèches de cheveux, dans la partie basse de la chevelure, ramenées vers l'arrière). Pourquoi cette variante de portrait ? Pour illustrer mon propos, et à titre de comparaison, voici les miens : L'écu aux insignes de l'atelier de Lille : Ecu aux insignes, troisième réformation, variante avec l'effigie de l'écu aux palmes. Année 1701. Atelier de LILLE (lettre W au revers, sous l'écu de forme circulaire). Argent 917/1000. Diamètre 42 mm. Poids théorique 27,45 grammes. Poids réel 26,84 grammes. Tranche en relief, «DOMINE SALVUM FAC REGEM». Fabrication de 1701 à 1703 à Lille. Tirage : inconnu (ref : Gadoury 2001). A titre de comparaison, voici un écu aux insignes avec le portrait "classique" : Ecu aux insignes, troisième réformation. Année 1701. Atelier de PARIS (lettre A au revers, sous l'écu de forme circulaire). Argent 917/1000. Diamètre 41 mm. Poids théorique 27,45 grammes. Poids réel 27,04 grammes. Tranche en relief, «DOMINE SALVUM FAC REGEM». Fabrication de 1701 à 1704. Tirage : 340 004 exemplaires (ref : Gadoury 2001). Et aussi, un écu aux palmes (pour comparer les différentes effigies du Roi) : Ecu aux palmes, frappé sur flan neuf. Année 1694. Atelier de PARIS (lettre A au revers, sous le noeud liant les deux palmes). Argent 917/1000. Diamètre 41 mm. Poids théorique 27,45 grammes. Poids réel 27,22 grammes. Tranche en relief, «DOMINE SALVUM FAC REGEM». Fabrication de 1693 à 1700. Tirage : 848 079 exemplaires (ref : Gadoury 2001). L'écu aux huit L, deuxième type, de l'atelier de Lille : Ecu aux huit L, deuxième type, quatrième réformation, avec l'effigie de l'écu aux palmes. Année 1704. Atelier de LILLE (lettre W en bas au revers). Argent 917/1000. Diamètre 41 mm. Poids théorique 27,45 grammes. Poids réel 27,08 grammes. Tranche en relief, «DOMINE SALVUM FAC REGEM». Fabrication de 1704 à 1705, à Lille seulement. Tirage : 604 100 exemplaires (ref : Gadoury 2001). A titre de comparaison, voici un écu aux huit L avec le portrait "classique" : Ecu aux huit L, deuxième type, frappé sur flan neuf. Année 1704. Atelier de LYON (lettre D en bas au revers). Argent 917/1000. Diamètre 40 mm. Poids théorique 27,45 grammes. Poids réel 27,29 grammes. Tranche en relief, «DOMINE SALVUM FAC REGEM». Fabrication de 1704 à 1709. Tirage : 27 017 exemplaires (ref : Gadoury 2001).
  9. A la fin du 17ème siècle, les écus de l'atelier de Dijon se démarquent des productions des autres ateliers par leur variante de légende d'avers : en effet, le classique "LVD.XIIII" est remplacé par "LUD.XIV". On retrouve cette variante de légende dans les écus aux huit "L" et les écus aux palmes. Pourquoi cette variante de légende ? Dans quel but ? Pour illustrer mon propos, voici les miens : L'écu aux huit L : Ecu aux huit L, premier type, première réformation, variante de légende d'avers avec «LUD.XIV». Année 1691. Atelier de DIJON (lettre P au revers, au centre de la monnaie). Argent 917/1000. Diamètre 39 mm. Poids théorique 27,45 grammes. Poids réel 26,90 grammes. Tranche en relief, «DOMINE SALVUM FAC REGEM». Fabrication de 1690 à 1693 à Dijon. Tirage : 388 590 exemplaires (ref : Gadoury 2001). L'écu aux palmes : Ecu aux palmes, deuxième réformation, variante de légende d'avers avec «LUD.XIV». A noter également pour la légende de revers : dans le mot "BENEDICTVM", le "V" est remplacé par un "U". Année 1694. Atelier de DIJON (lettre P au revers, sous le noeud liant les deux palmes). Argent 917/1000. Diamètre 40 mm. Poids théorique 27,45 grammes. Poids réel 26,92 grammes. Tranche en relief, «DOMINE SALVUM FAC REGEM». Fabrication de 1693 à 1699 à Dijon. Tirage : 590 318 exemplaires.
  10. Monnaie d'une insigne rareté, qui manque à beaucoup de collections de monnaies royales. D'après ce que j'ai pu lire, très peu d'écus à la perruque auraient survécu aux reformations successives. Sur le mien, l'avers n'est pas de belle qualité, avec une méchante rayure ancienne sur le nez du Roi (voir photos). Mais la monnaie est tellement rare qu'elle mérite d'être achetée dans n'importe quel état de conservation. Année 1686. Atelier de PARIS (lettre A en bas au revers). Réformation. Argent 917/1000. Diamètre 39 mm. Poids théorique 27,45 grammes. Poids réel 27,08 grammes. Tranche inscrite en relief, «DOMINE SALVUM FAC REGEM». Fabrication de 1684 à 1689. Tirage : 595 152 exemplaires (ref : Gadoury 2001).
  11. Merci pour cette documentation.
  12. Merci, je comprends mieux.
  13. Appelés également "écus carambole", les écus de Flandre sont d'un diamètre et d'un poids supérieur aux autres écus de la même période. La légende inscrite sur la tranche est également plus longue : "DOMINE SALVUM FAC REGEM CHRISTIANISSIMUM" (au lieu de la légende classique "DOMINE SALVUM FAC REGEM"). Leur teneur en argent pur est inférieure à la normale (857/1000 au lieu de 917/1000). Pourquoi avoir fabriqué des écus plus gros et plus lourds, avec une teneur en argent moindre ? N'aurait-il pas été plus simple de créer des écus plus petits et moins lourds, avec une teneur en argent classique (917/1000), dans un souci évident d'uniformisation des monnaies de l'époque ? Voici les miens : Ecu de Flandre, dit «Ecu Carambole» : Année 1685. Atelier de PARIS (lettre A en bas au revers). Exemplaire avec des points entre les chiffres de la date et un globe sous le buste du Roi. Argent 857/1000. Diamètre 42 mm. Poids théorique 37,65 grammes. Poids réel 37,03 grammes. Tranche en relief, «DOMINE SALVUM FAC REGEM CHRISTIANISSIMUM». Fabrication en 1685 à Paris seulement (pour cette variante). Tirage : 102 122 exemplaires (ref : Gadoury 2001). Ecu de Flandre, dit «Ecu Carambole» : Année 1686. Atelier de LILLE (lettres LL en bas au revers). Avec trèfle après la date. Exemplaire sans points entre les chiffres de la date et sans globe sous le buste du Roi. Argent 857/1000. Diamètre 42 mm. Poids théorique 37,65 grammes. Poids réel 36,74 grammes. Tranche en relief, «DOMINE SALVUM FAC REGEM CHRISTIANISSIMUM». Fabrication en 1686 à Lille. Tirage : 235 000 exemplaires (ref : Gadoury 2001). Ecu de Flandre aux palmes, dit «Ecu Carambole aux palmes» (réformation) : Année 1694. Atelier de LILLE (lettre W au revers, sous le noeud liant les deux palmes). Argent 857/1000. Diamètre 43 mm. Poids théorique 37,65 grammes. Poids réel 37,27 grammes. Tranche en relief, «DOMINE SALVUM FAC REGEM CHRISTIANISSIMUM». Fabrication de 1693 à 1700, à Lille seulement. Tirage : inconnu (ref : Gadoury 2001).
  14. D'une manière générale, les écus de Béarn et de Navarre produits durant la première partie du règne de Louis XIV présentent une frappe de moins bonne qualité que les autres écus de la même période. Quelqu'un sait pourquoi ? En outre, ils sont bien souvent d'une usure plus prononcée que la normale, notamment sur le portrait du Roi. Trouver un exemplaire en bel état s'avère difficile et coûteux. Bizarre... Voici les miens : Ecu de Béarn à la mèche longue : Année 1652. Atelier de PAU. Variante avec la lettre F sous le buste du Roi. Argent 917/1000. Diamètre 39 mm. Poids théorique 27,45 grammes. Poids réel 26,59 grammes. Fabrication de 1650 à 1662, à Pau et Morlaas seulement. Tirage : inconnu (ref : Gadoury 2001). Ecu de Navarre à la mèche longue : Année 1656. Atelier du Saint-Palais. Lettre V sous le buste du Roi. Argent 917/1000. Diamètre 38 mm. Poids théorique 27,45 grammes. Poids réel 26,87 grammes. Fabrication de 1652 à 1662, dans l'atelier du Saint-Palais. Tirage : inconnu (ref : Gadoury 2001). Ecu du Béarn au buste juvénile : Année 1679. Atelier de PAU. Argent 917/1000. Diamètre 39 mm. Poids théorique 27,45 grammes. Poids réel 27,03 grammes. Fabrication de 1663 à 1680 (sauf 1678), à Pau seulement. Tirage : inconnu (ref : Gadoury 2001).
  15. Les écus à la cravate de Louis XIV se distinguent par une multitude de portraits, variables selon les ateliers. Pourquoi toutes ces variantes ? Quelques exemples tirés de ma collection : Ecu à la cravate, première émission (graveur Dufour) : Année 1673. Atelier de PARIS (lettre A en bas au revers). Argent 917/1000. Diamètre 39 mm. Poids théorique 27,45 grammes. Poids réel 27,13 grammes. Fabrication de 1672 à 1673. Tirage : 939 015 exemplaires (ref : Gadoury 2001). Ecu à la cravate, première émission, variante de Bayonne : Variante de fleurs de lys au revers, buste non drapé, «NA.REX» dans la légende d'avers. Année 1674. Atelier de BAYONNE (lettre L en bas au revers). Argent 917/1000. Diamètre 39 mm. Poids théorique 27,45 grammes. Poids réel 26,85 grammes. Fabrication de 1673 à 1678, à Bayonne seulement pour cette variante. Tirage : 13 159 exemplaires (ref : Gadoury 2001). Ecu à la cravate, deuxième émission, buste de Rouen : Variante de cravate, cheveux plus épais. Année 1680. Atelier de ROUEN (lettre B en bas au revers). Argent 917/1000. Diamètre 38 mm. Poids théorique 27,45 grammes. Poids réel 27,16 grammes. Fabrication de 1679 à 1684. Tirage : 86 340 exemplaires (ref : Gadoury 2001). Ecu à la cravate, deuxième émission, buste de Bayonne : «NA.REX» dans la légende d'avers, mèche plus longue (sur le torse). Année 1681. Atelier de BAYONNE (lettre L en bas au revers). Argent 917/1000. Diamètre 39 mm. Poids théorique 27,45 grammes. Poids réel 27,13 grammes. Fabrication de 1679 à 1684, à Bayonne et Bordeaux. Tirage : 441 668 exemplaires (ref : Gadoury 2001). Ecu à la cravate, deuxième émission, buste de Rennes : Année 1683. Atelier de RENNES (chiffre 9 en bas au revers). Argent 917/1000. Diamètre 40 mm. Poids théorique 27,45 grammes. Poids réel 26,95 grammes. Fabrication de 1679 à 1684. Tirage : 460 224 exemplaires (ref : Gadoury 2001).
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