De Gilley Posté(e) 16 juin 2021 Signaler Share Posté(e) 16 juin 2021 il y a 10 minutes, Guillaume Hermann a dit : C'est curieux ça : si c'est du Sheldon, le Sheldon pour la rareté va jusqu'à R8 https://fr.wikipedia.org/wiki/Échelle_de_Sheldon Je serais surpris qu'aucune monnaie du MIR ne soit connue à moins de 31 exemplaires (le minimum du R5 en Sheldon); de plus, même si c'était le cas, l'auteur devrait indiquer la table de Sheldon complète dans la partie explicative de l'ouvrage. C'est normal, par ex. les coefficients de rareté pour les monnaies antiques ou médiévales ne sont pas normalisés et sont très souvent différents d'un ouvrage à un autre... Certains ne dépassent pas RRR et après U (unique), dans le MIR l'auteur comprends aussi "unique" dans RRRRR. Les monnaies modernes sont les plus aptes à recevoir des degrés de rareté chiffrés et on le comprend tout à fait. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ALM Posté(e) 16 juin 2021 Signaler Share Posté(e) 16 juin 2021 bonjour et puis les indices de rareté sont parfois temporaires : il arrive parfois que lors d'une trouvaille, plusieurs exemplaires rares ou inédits apparaissent en grand nombre (tout est relatif) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guillaume Hermann Posté(e) 16 juin 2021 Auteur Signaler Share Posté(e) 16 juin 2021 il y a 42 minutes, De Gilley a dit : Mais est-vraiment important ? Evaluer la rareté fait partie de la compréhension de la monnaie, surtout quand on connaît le contexte de découverte hautement improbable de celle-ci. Son inventeur m'a d'ailleurs demandé pourquoi elle était si rare. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
De Gilley Posté(e) 16 juin 2021 Signaler Share Posté(e) 16 juin 2021 Je ne dis pas que le degré de rareté n'est pas important, mais que les différences d'approches entre différents auteurs à ce sujet ne l'est pas forcément... Je prends un exemple, si un auteur spécialisé écrit une monographie sur l'étude des deniers de l'Archevêché de Besançon du XIème au XIVème siècle et qu'il utilise des degrés de rareté RRRR, alors qu'un ouvrage généraliste utilise RRR, RRRR ou RRRRRRRR pour les mêmes monnaies, qui privilégieras-tu ? Et comme le dit ALM, des monnaies affublées d'un statut "rarissime" il y a quelques décennies ont été retrouvées en grand nombre depuis... Perso, j'ai beaucoup plus de mal avec des ouvrages sur les monnaies très anciennes ou sont les notés les prix d'achat/vente comme un gage de "sérieux". C'est pour moi totalement subjectif et même souvent fantaisiste, et quelquefois l'historique passe en second plan derrière l'aspect mercantile... Il y a assez de marchands numismates pour ça ! On se rend compte que de plus en plus de "collectionneurs" (jeunes ou moins jeunes) sont plus attirés par les prix de leurs monnaies monnaies que par leur intérêt historique. 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guillaume Hermann Posté(e) 16 juin 2021 Auteur Signaler Share Posté(e) 16 juin 2021 Certes mais en l'espèce l'ouvrage est de 2017, ça a laissé peu de temps pour en découvrir un plein seau dans la cave de Potator (qui a été content que ce ne fut pas de la Dombes ). Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
De Gilley Posté(e) 16 juin 2021 Signaler Share Posté(e) 16 juin 2021 il y a 1 minute, Guillaume Hermann a dit : Certes mais en l'espèce l'ouvrage est de 2017, ça a laissé peu de temps pour en découvrir un plein seau dans la cave de Potator (qui a été content que ce ne fut pas de la Dombes ). On ne s'est pas compris, mais ce n'est pas grave... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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