Invité sah Posté(e) 1 novembre 2006 Signaler Share Posté(e) 1 novembre 2006 Bonjour j'ai une piece etrangere dont je ne connait pas l'origine et sa valeur actuelle, est ce quelqu'un peut m'eclairer? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hpdp Posté(e) 1 novembre 2006 Signaler Share Posté(e) 1 novembre 2006 hongrie, très jolie, ne surtout pas essyer de la faire briller! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ALM Posté(e) 2 novembre 2006 Signaler Share Posté(e) 2 novembre 2006 BONJOUR MONNAIE DE HONGRIE 5 PENGO 1938 REF KM 516 PAS COURANTE EN TTB 12.50 EUROS EN SUP 25 EUROS A+ Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ALM Posté(e) 2 novembre 2006 Signaler Share Posté(e) 2 novembre 2006 RE ELLE COMMEMORE Étienne Ier de Hongrie fondateur du royaume de Hongrie. Vajk ou "Vaïk" de son vrai nom, fils de Géza, « duc des Magyars », se convertit au catholicisme romain avec son père vers l’âge de dix ans (985) et prend alors pour nom de baptême le nom d’Étienne (Istvan en hongrois). Il est éduqué par Adalbert de Prague et ses disciples qui organisent l’Église hongroise. Il épouse la fille du duc Henri II de Bavière, Gisèle, également considérée comme sainte, fin 995 ou début 996, puis devient « duc des Magyars » à la mort de son père en 997. Couronnement comme roi de Hongrie et Affermissement du pouvoir Après avoir maté une révolte de l’aristocratie magyare païenne conduite par le chef Koppany (998), Étienne est sacré roi de Hongrie le jour de Noël de l'an 1000 avec une couronne envoyée par le pape Sylvestre II (ce qui le fait qualifier de roi apostolique) et avec le consentement de l’empereur germanique Otton III. La couronne est apportée par le légat Aserik, ou Anastase, futur archevêque d’Esztergom. Un autre prélat, Domonkos, premier évêque hongrois, participe à la cérémonie. Étienne défend l’indépendance de la Hongrie contre les Bulgares voisins et l’empereur germanique Conrad II le Salique (il se déclare vassal du Saint-Siège). Ses sœurs épousent l’une, un prince bulgare, l’autre, le fils du doge de Venise Pierre Orseolo. Christianisation Il impose le christianisme en Hongrie : il accueille des missionnaires et doit fréquemment combattre les Magyars païens comme lors de la révolte conduite par le chef Ajtony (v. 1003). Il crée des archevêchés (Kalocsa et Esztergóm) et huit évêchés. Il abolit le système tribal de son peuple et transforme les territoires des clans en comtés (megye), basés autour d’une place forte et ayant à leur tête un ispan. Les deux tiers de la population et des terres dépendent ainsi directement du roi, qui fait de grandes donations aux églises et aux monastères. Le roi et sa cour se déplacent dans les résidences royales, en particulier les forteresses d’Esztergom (Gran) et Székesfehérvár (Stuhlweissenburg). Étienne gouverne avec l’aide d’un Conseil, composé entre autres de l’archevêque d’Esztergom et du palatin (nádor). La christianisation du pays est lente et rude : les Hongrois doivent abandonner leur chamanisme primitif, accepter le baptême sous la menace des armes, et des décrets royaux les obligent à construire des églises, à se rendre aux offices et à nourrir les prêtres. Étienne fait venir des ecclésiastiques tel Gellert de Venise, précepteur du roi et évêque de Csanad, écrivain célèbre et créateur d’écoles pour les Grands du royaume. L’influence byzantine se maintient en Transylvanie jusqu’au XIIIe siècle, quand les moines basiliens seront latinisés. Par ailleurs, à l’occasion de leurs mariages avec des princesses russes où byzantines, les rois hongrois n’hésitent pas à fonder des monastères byzantins, ce que fait Étienne à l’occasion des noces entre une fille du Basileus et son fils Émeric (Imre en hongrois), qui meurt avant lui. Conquêtes Étienne réunit la Transylvanie au royaume (1003-1006). Succession Á la mort de son fils et unique héritier Émeric (1031), il fait crever les yeux et plomber les oreilles de son cousin Vazul, prince aîné de la dynastie arpadienne, et exiler ses fils en Pologne pour les évincer de la succession. Il désigne comme héritier Pierre, le fils vénitien de sa sœur. Il meurt le 15 août 1038. La Hongrie connaît alors un demi-siècle de troubles provoqués par la lutte pour le pouvoir, les différents prétendants au trône faisant appel aux empereurs byzantins ou aux empereurs germaniques. Pierre Orseolo, fils du doge de Venise, dispute le trône à son cousin Samuel Aba, fils d’un prince bulgare. Sainteté Époux d’une sainte, père d’un saint (Émeric), il est lui même reconnu comme saint et honoré le 2 septembre. L'impératrice Marie-Thérèse Ire de Hongrie institua en son honneur, en 1764, l'Ordre de Saint Etienne. A+ Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ALM Posté(e) 2 novembre 2006 Signaler Share Posté(e) 2 novembre 2006 re la même pièce vendue par lot de 2 adjugé 39 dollars us soit + ou - 30 euros pour 2 exemplaires soit 15 euro chacune voir ce lien http://www.coinarchives.com/w/lotviewer ... 48&Lot=315 a+ Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sneyoz Posté(e) 13 octobre 2015 Signaler Share Posté(e) 13 octobre 2015 Huszar 2279 Atelier BP (Budapest) très bel exemplaire. Pas rare, mais pas courant non plus. Va avec le Huszar 2280, qui commémore également le célèbre roi Szent Istvan. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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