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  1. GregorChap

    Pièce 2€ fauté ou commune ?

    Bonjour, Pour l'Allemagne, de 2002 à 2006, frontières apparentes. De 2008 à 2015, plus de frontière. Donc valeur 2€.
  2. Talec

    Pièce 2€ fauté ou commune ?

    Bonjour Pouvez vous me donner une estimation pour un piece de 2 euros allemande de 2008. Piece sur laquelle les frontieres de l europe ne sont pas separees. Merci d avance
  3. Il faut essayer d'être indulgent envers les non initiés J'ai souvent des collègues qui viennent me voir avec des euros commémoratifs ou présentant à leurs yeux une particularité en pensant avoir trouvé une monnaie rare. Même si derrière il y a un aspect pécuniaire, il y a avant tout un intérêt pour la monnaie en tant que telle. Cela veut dire qu'ils ont pris le temps de l'observer, qu'à leurs yeux une monnaie n'est pas une simple rondelle de métal permettant d'acheter une baguette. Parmi eux, quelques uns deviendront peut être collectionneur (d'euros, puis de romaines ou de royales etc...), surtout s'ils reçoivent un bon accueil de la part des numismates avertis. Cela dit, n'étant pas collectionneur d'euros, je ne sais pas si la 2 euros France est plus rare avec ou sans frontières sur la gravure représentant l'Europe.
  4. Baba

    Pièce 2€ fauté ou commune ?

    c'est justement la face commune qui m'intéresse parce que les 15 pays n'ont pas de frontières
  5. junioricus

    carolingienne

    Oh là là, j'en lis des choses. Papinumis, l'identité de cette personne est connue, vous pourrez d'ailleurs me le confirmer, ses initiales sont JL, par contre je suis étonné que vous le localisiez en Allemagne, car tous les envois proviennent d'Espagne ou de Thaïalande, à moins qu'il ne fasse partie d'un réseau plus vaste. Rico1, papinumis a raison, vous déposer plainte pour quoi ? Escroquerie ? Votre plainte ne passera malheureusement pas les frontières même si nous sommes en Europe. Concernant EBay, Déric a raison ils s'en foutent, cette personne a été signalée des centaines de fois et rien ! Il ne faut pas oublier qu'Ebay touche des commissions sur les ventes, on ne vit pas au pays des bisounours ;-) Enfin, non tu n'as pas de retour d'Ebay mais tu te rends bien compte que les annonces restent en ligne... Papinumis, j'ai eu plusieurs victimes de jerbo_spain en contact, il semblerait qu'il rembourse les victimes qui se sont aperçues des faux à deux conditions : lui retourner le faux (et oui pas de perte) et une évaluation positive (parce qu'il faut continuer a vendre...) ce qui explique toutes ces bonnes évaluations. En général il fait le beta, ah bon un faux ? Pas si bête sa technique, cela évite les plaintes et les mauvaises évaluations ;-)
  6. le souci des imitations dites "barbares", c'est que la majorité a été émise dans les frontières de l'Empire, les imitations radiées du IIIe siècle étant le meilleur exemple
  7. Mais meme quand les frontieres ne bougent pas, en Belgique on n'est jamais tres loin d'une frontiere... A Coxyde, dans les annees 80, l'argent francais etait admis partout et, dans l'autre sens, mon ancetre quincaillier a Roubaix des annees 1920 a 60 recevait chaque semaine des paiements en francs belges. Et comme, ainsi que Hpdp l'a rappele, autrefois au sein d'un meme pays il pouvait y avoir des quantites d'emetteurs de monnaie differents... Je ne parlais pas seulement des frontieres internationales mais aussi des differents emetteurs de monnaie au sein d'un meme pays.
  8. ce qu'il faut voir c'est la date : 10 septembre : La ville de Luxembourg est libérée par la 1re Armée américaine. 11 septembre : Les troupes américaines libèrent le Grand-Duché de Luxembourg et atteignent les frontières du Reich. 12 septembre : Jonction à Montbard (Côte-d'Or) des armées alliées débarquées en Normandie et en Provence.
  9. Guillaume Hermann

    Iran 1876/1293 qiran

    Et un complément d'info donné directement en français sur WoC : "L'arrangement du revers de cette monnaie n'est pas très courant, me semble-t-il, ni vraiment aisé à déchiffrer... mais il s'agit bien de l'atelier de Resht (ou Rasht) : "dar al-marz Resht" (la cité des frontières)".
  10. bonjour, Les "minimi" font partie des "imitations radiées" ou frappes "barbares". La majeure partie a été frappée en Gaule, Bretagne et Hispanie, mais aussi dans les "pays" bordant les limes (frontières) romaines. Il s'agit de frappes de nécessité, créées par des "ateliers" hors contrôle "légal". ces monnaies de taille et poids souvent très inférieurs à la norme, se divisent en "minimi" (environ 15mm de diamètre et +ou- 2 grammes) et en "minimissimi" (10mm et moins, poids de - de 1gr). Certains sont très bien imités, d'autres très "frustres". Tout dépendait des talents du "graveur". Il en existe des milliers. Ils imitent les monnaies qui circulaient encore (Gallien -Claude II- Postume, Victorin et surtout les deux Tétricus I et II). Pour la gravure, les légendes sont le plus souvent dégénérées, faites de traits ( I,/,) et de dessins plus ou moins représentatifs du modèle. Il se trouve souvent un avers d'un type (par exemple Claude II) avec un revers d'un autre Empereur, tout dépendait des pièces de monnaies servant de modèles au "graveur" (souvent analphabète). Les plus curieuses sont celles possédant au revers une gravure "spécifique" (Salus, Comes, Victoria) mais avec une légende sans rapport (SPES AVG, PAX PVBLICA etc) et, comble du plaisir, c'est d'arriver à trouver les "paires" (un dessin "Spes" avec légende "PAX AVG" et un autre monnaie avec le dessin "pax" et la légende "spes avg). Ces monnaies sont "uniques" car les matériaux (coins) n'étant pas de bonne qualité, ils ne frappaient que peu de pièces, vite usées et peu thésorisées car sans valeur. L'exceptionnel, c'est dans trouver deux identiques, frappées avec les même coins. Ils sont "classifiés" dans l'AGK (numéro précedé d'un N) par les types de revers.
  11. la bourgogne n'a jamais été en belgique les pays-bas espagnols, selon les époques, se sont étendus bien au delà des frontières belges actuelles.
  12. Bonjour Les minimi et minissimi sont des monnaies de nécessité frappées "localement" et donc "illégales" dans les années 260/290 en Europe de l'Ouest (Gaule, Britannie, Hispanie et Germanie). Elles sont à l'effigie des empereurs Gallien, Claude II, Postume, Victorinus et de Tetricus I et II. Les "constantiniennes", frappées plus tard (330/350) dans la région danubienne. Les "minimi" font partie des "imitations radiées" ou frappes "barbares". La majeure partie a été frappée en Gaule, Bretagne et Hispanie, mais aussi dans les "pays" bordant les limes (frontières) romaines. Il s'agit de frappes de nécessité, créées par des "ateliers" hors contrôle "légal". ces monnaies de taille et poids souvent très inférieurs à la norme, se divisent en "minimi" (environ 15mm de diamètre et +ou- 2 grammes) et en "minimissimi" (10mm et moins, poids de - de 1gr). Certains sont très bien imités, d'autres très "frustres". Tout dépendait des talents du "graveur". Il en existe des milliers. Ils imitent les monnaies qui circulaient encore (Gallien -Claude II- Postume, Victorin et surtout les deux Tétricus I et II). Pour la gravure, les légendes sont le plus souvent dégénérées, faites de traits ( I,/,) et de dessins plus ou moins représentatifs du modèle. Il se trouve souvent un avers d'un type (par exemple Claude II) avec un revers d'un autre Empereur, tout dépendait des pièces de monnaies servant de modèles au "graveur" (souvent analphabète). Les plus curieuses sont celles possédant au revers une gravure "spécifique" (Salus, Comes, Victoria) mais avec une légende sans rapport (SPES AVG, PAX PVBLICA etc) et, comble du plaisir, c'est d'arriver à trouver les "paires" (un dessin "Spes" avec légende "PAX AVG" et un autre monnaie avec le dessin "pax" et la légende "spes avg). Ces monnaies sont "uniques" car les matériaux (coins) n'étant pas de bonne qualité, ils ne frappaient que peu de pièces, vite usées et peu thésorisées car sans valeur. L'exceptionnel, c'est dans trouver deux identiques, frappées avec les même coins. Ils sont "classifiés" dans l'AGK (numéro précedé d'un N) par les types de revers. j'ai fait un post sur les minimi et minimissimi sur NUMISTA (dont j'ai extrait les données citées plus haut) j'en profite donc au passage pour rendre hommage à l'aide apportée par TETRICUS79 à ce sujet !!! http://fr.numista.com/forum/topic29759.html
  13. Bonsoir à tous les membres du forum numismatique ! Puisqu'étant, tout comme vous, intéressé par les monnaies il était donc naturel que je m'inscrive sur ce forum afin d'échanger avec ses membres sur ce vaste domaine qu'est la numismatique...à ce propos, je m'intéresse plus particulièrement aux monnaies modernes françaises jusqu'à la IIIème République avec une petite préférence pour les pièces de 50 Cts & 1 Fr Cérès. A savoir qu'en ce moment je recherche également des 10 Cts à l'N couronné du Ier Empire...donc mon champ d'intérêt a des frontières poreuses
  14. Au début du XXème siècle, l’empire austro-hongrois se composait d’un ensemble hétéroclite de peuples, de langues et de religions différents, le tout dominé par l’Autriche assez peu favorable au développement des nationalismes à l’intérieur des frontières de l’Empire. En plus de l’Autriche actuelle, on y trouvait des polonais, des tchèques, des slovaques, des hongrois, des roumains, des slovènes, des croates, des bosniaques et beaucoup d’italiens. Les nationalismes y étaient exacerbés et pour ne citer que des incidents connus de tous : - L’assassinat déguisé en suicide (avec deux balles dans tête d’après le premier rapport d’autopsie) du fils de François-Joseph, l’archiduc Rodolphe à Mayerling que l’on prête à des nationalistes hongrois. - L’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand, héritier du trône en 1914, à Sarajevo par un nationaliste serbe, qui sera l’élément déclencheur de la première guerre mondiale. Le royaume d’Italie, à l’époque, entre en guerre du côté des alliés et beaucoup d’italiens, sujets des Habsbourg, se retrouvent du mauvais côté de la frontière. C’est le cas des habitants du Trentin, de la Vénétie Julienne, du Tyrol italien, mais aussi de la côte dalmate où vivaient de fortes minorités italiennes comme à Fiume (actuellement le port de Rijeka en Croatie). Soupçonnés à tort ou à raison d’antipathie vis-à-vis de la famille impériale 3500 personnes (dont 1700 italiens) furent enfermés au camp de Katzenau, près de Linz en Autriche. Bien que ce ne fut ni le goulag, ni un de ces sinistres camps de la seconde guerre mondiale, les conditions y étaient dures. Pour retourner au pays, il fallait de l’argent, c’est la raison pour laquelle les espèces qui avaient cours dans le camp, n’avaient pas cours ailleurs. Les numismates peuvent se procurer des billets et des pièces de Katzenau, mais aussi pour les philatélistes des plis portant le cachet du camp. Il arrive que l’on en propose sur ebay. Texte, photographies et collection 33sud
  15. Bonne remarque , et "La Livonie a été un territoire correspondant à la quasi-totalité du territoire actuel des États baltes pour n'être plus maintenant que le nom d'une péninsule de l'actuelle Lettonie" http://fr.wikipedia.org/wiki/Livonie Donc en effet je replace la monnaie en Lettonie (et je change l’année aussi, 1618 étant devenu 1619 pour une raison ignorée). A part ça, pour les territoires anciens il y a souvent une discordance avec les frontières actuelles (même question pour une monnaie prussienne de 33sud par exemple), il faut trancher et cela peut toujours se critiquer, mais je ne vois pas pourquoi priver la Lettonie et les deux autres Etats touchant la Mer baltique de leur indépendance.
  16. L'Italie mais pas seulement, c'est bien ça qui est curieux ! Les frontières ouest, nord et sud de l'Italie ne sont ni si éloignées, ni taillées en ligne droite ! La carte monte largement jusqu'au nord de l'Autriche et descend jusqu'à l'Albanie incluse...
  17. Avec Chengen et les frontieres ouvertes beaucoup des nos clients....et moi meme, ne declarons rien du tout !!! Pour le monent je n ai jamais eu de probleme.....apres il est vrai que je passe pas avec les poches pleines d'or non plus hihihihihi :shock:
  18. De l'utilite de traiter toutes ses "Flandre espagnole" le meme jour : en cherchant la courte de Philippe II sur indication d'Alm dans l'autre topic, je suis tombe sur une courte avec exactement le revers de celle ci-dessus http://monnaies.delcampe.fr/item.php?id ... escription Malheureusement ils n'indiquent pas son diametre, mais cela fait penser au moins que l'objet ci-dessus est bien une monnaie. Je vais continuer a chercher, merci a vous deux. Hpdp (mais je crois qu'Alm est du coin aussi) : historiquement, sur le territoire de l'actuelle Belgique et ses environs, il y a souvent eu plus de frontieres que de "region du centre" ! Ma famille etant elle-meme sur moins de 150 ans franco-germano-luxemburgo-belge, avec un peu plus haut probablement des Hollandais... Les monnaies sont souvent restees longtemps en circulation, mais au bout d'un certain temps, leur valeur devenait totalement detachee de celle de leur point de depart... J'ai lu, dans les memoires de je ne sais plus qui (et j'aimerais bien retrouver), que, etant enfant dans un village francais vers 1900, il payait ses bonbons chez l'epicier avec des petites Louis XIII en cuivre, et c'etait banal dans son coin.
  19. c'était le boulot des changeurs que de remplacer les vieilles monnaies, les étrangères et les jetons par de bonnes pièces. et puis on voit ça d'ici, c'est à dire qu'on voit un siècle de monnaies, mais les pièces ne changeaient pas souvent. par contre c'est vrai qu'il y avait souvent plusieurs systèmes simultanés, un ou deux anciens, avec les anciennes pièces, l'officiel, et les systèmes étrangers voisins dans les zones proches des frontières, même si les gens circulaient peu. mais quand il s'agit d'argent, en général les gens comprennent très vite ;o)
  20. Des copies de ce type de pièce circulent sur un site de vente aux enchère extrêmement connu, j'en ai acheté une pour quelques euros il y a deux ans à un allemand qui liquidait des quantité industrielles d'un grand nombre de types très recherchés (ces pièce ne portent aucune contremarque signalant leur nature) et une autre à un vendeur belge. Même si ces "grossistes" indiquent dans leur annonce qu'il s'agit de copies, il est tout à fait évident qu'une grande partie de ces faux seront rapidement remis en circulation sur internet par des "détaillants" sans scrupules qui savent très bien que : 1. Vendre sur photo c'est la meilleure façon de fourguer n'importe quoi même à des amateurs éclairés (mais un peu naïfs) 2. Vendre par courrier (même recommandé) et de préférence au delà des frontières c'est se mettre à l'abri des poursuites judiciaires éventuelles (très très éventuelles d'ailleurs)
  21. ALM

    identification d'une pièce

    ressemble à un solidus de SEVERE ALEXANDRE mais elle m'a l'air bizarre la peser et voir avec un bijoutier pour le métal pas certain que ce soit une vraie ! http://books.google.fr/books?id=2GSRk7- ... q=&f=false Alexandre Sévère, de son vrai nom Gessius Bassianus Alexianus, est né en 208 à Césarée de Phénicie. C'est le fils de Julia Mamée et de Gessius Marcianus, un procurateur d'origine syrienne. C'est aussi le petit-fils de Julia Maésa, la sœur de Julia Domna, la femme de Septime Sévère, la mère de Caracalla et de Géta. Il est adopté par son cousin Élagabal le 10 mai 221. Quand ce dernier est assassiné le 13 mars 222, c'est Alexandre Sévère qui est choisi pour lui succéder. Il reste sous l'influence de sa mère jusqu'à la fin de son règne. Ulpien est nommé préfet du Prétoire, mais il sera malheureusement massacré par les soldats en 223. En 225, il épouse Orbiane qui sera bientôt reléguée. À partir de 231, les frontières de l'Empire sont menacées. C'est d'abord une expédition contre le nouveau monarque sassanide Ardashir qui se conclut par une trêve en 233, l'empereur devant se rendre sur le limes rhénan que les Germains ont franchi. L'empereur et sa mère sont assassinés en 235. http://www.fredericweber.com/SEVERE_ALEXANDRE/index.htm a+
  22. La couronne tchèque a vu le jour il y a 90 ans [15-04-2009 13:24 UTC] Par Jaroslava Gissübelovà Il y a tout juste 90 ans, le 10 avril 1919, la jeune République tchécoslovaque s’est dotée de sa propre monnaie – la couronne tchécoslovaque. Le nom de la nouvelle monnaie, le même qui était utilisé en Autriche-Hongrie depuis 1892, ne devait être que provisoire. Les nouveaux noms proposés comme franc, denier, sokol /faucon/, lion ou rašín, d’après le nom du ministre des Finances Alois Rašín, n’ont toutefois pas été adoptés, et la couronne est restée la monnaie officielle de l’Etat tchécoslovaque jusqu’à sa partition, en 1993. La monnaie étant l’un des symboles des Etats, la séparation monétaire de l’Autriche-Hongrie a été l’un des premiers pas de la nouvelle république vers son indépendance économique. L’introduction de la monnaie a été un long processus, observe le numismate Jiří Militký : « La date du 10 avril est symbolique, se référant à la loi monétaire du 10 avril 1919. En réalité, la couronne tchécoslovaque a vu le jour deux mois auparavant, le 25 février 1919, lorsque la séparation monétaire s’est opérée. Après la guerre, la situation économique de l’Autriche et de la Hongrie, deux Etats successeurs de la monarchie austro-hongroise, est devenue difficile. En revanche, l’économie du nouvel Etat tchécoslovaque se portait beaucoup mieux et c’est pour cela que le ministre des Finances Alois Rašín a opté pour une solution radicale - la séparation de la monnaie : les frontières ont été fermées et les billets de banque austro-hongrois, alors en circulation, ont été timbrés. La loi monétaire en vigueur dès le 10 avril 1919 a donné naissance à la couronne tchécoslovaque. » Alois RašínOn aurait vainement cherché le mot ‘couronne’ sur la face et l’envers des pièces de monnaie tchécoslovaques frappées en 1919. La recherche d’un nouveau nom pour remplacer cette désignation, toujours très liée à l’ancienne monarchie, a continué. Parmi les nombreux projets présentés, le plus bizarre a été celui proposant que la nouvelle monnaie s’appelle sokol, d’après le mouvement gymnique et patriotique Sokol. Les ‘sokols’ devaient se composer de 10 petites griffes et de 100 plumes. Aucun de ces projets n’a finalement été réalisé. Gràce à qui, la Tchécoslovaquie a gardé sa couronne ? Jiří Militký : L’hôtel de la monnaie à Kremnica« C’est le ministre des Finances Alois Rašín qui se trouvait derrière cette décision, mais il est sûr que c’était aussi le souci de préserver la continuité de la couronne introduite sous l’Autriche-Hongrie, qui a joué son rôle. Quant aux aspects pratiques, le passage à la nouvelle monnaie tchécoslovaque était compliqué par la situation d’après-guerre. Aucun hôtel de la monnaie n’était en service alors en Tchécoslovaquie, et pour cette raison, on n’a pas pu commencer par la frappe des pièces. Ainsi, les billets de banque ont été les premiers à être imprimés dans différentes imprimeries d’Europe et même aux Etats-Unis. » Le plus grave obstacle à la frappe de la monnaie nationale sur le territoire du nouvel Etat tchécoslovaque – la présence de troupes hongroises dans le sud de la Slovaquie y compris la ville de Kremnica où se trouvait l’unique hôtel de la monnaie. Jiří Militký explique les raisons de cette occupation qui a duré jusqu’à l’été 1919: « La ville de Kremnica faisait officiellement partie du nouvel Etat, mais l’armée tchécoslovaque n’est arrivée sur ce territoire occupé par les troupes hongroises que le 15 décembre 1918, soit deux mois après la proclamation de l’Etat tchécoslovaque. Entre-temps, l’administration hongroise a complètement vidé l’hôtel de la monnaie, emmenant avec elle les réserves de métaux précieux, la collection des médailles ainsi que tous les équipements et les machines. L’administration tchécoslovaque qui y est arrivée, n’y a trouvé que des locaux vides. » Les premiers moyens de paiement tchécoslovaques ont été les dits ‘stàtovky’ – les billets émis par l’Etat. Leur valeur nominale était de 1, 5, 10, 20, 50, 100, 500, 1000 et 5000 couronnes. La rapidité avec laquelle les ‘stàtovky’ étaient frappés s’est reflétée sur leur mauvaise qualité technique. La réalisation d’une partie des projets a été confiée au célèbre peintre Alfons Mucha, auteur des coupures de 10, 20, 100 et 500 couronnes. Jiří Militký décrit les tous premiers billets émis par l’Etat tchécoslovaque : « Les coupures de la dite première émission portent la date du mois de février 1919. En réalité, elles ont été émises un peu plus tard, dans le courant de l’année 1919. C’était les billets de valeur nominale de 1 et de 5 couronnes, aux motifs assez simples et pour cette raison, assez souvent falsifiés. » Les billets de banque sont émis en Tchécoslovaquie dès 1926, date de la création de la Banque nationale. Les pièces de monnaie sont frappées depuis déjà 1921, et celles de valeur nominale de 5, 10 et 20 couronnes datées de 1928 à 1932 sont frappées en argent. Parmi leurs auteurs, on trouve les noms d’artistes célèbres comme Otakar Španiel, Otto Gutfreund ou Jaroslav Horejc. Pour ce qui est des auteurs des billets de banque, à part Alfons Mucha déjà mentionné, c’est le peintre Max Švabinský dont le billet de 100 couronnes émis en 1931 et celui de 1000 couronnes de 1934 sont considérés comme les plus beaux de toute la période d’entre-deux guerres. Très appréciée est la conception graphique des billets de banque tchèques actuels, œuvre de Oldřich Kulhànek. La coupure de 1000 couronnes réalisée par lui est devenue le billet de banque mondial de l’an 2008. La couronne tchécoslovaque a disparu après 75 ans d’existence, en 1993. Le prochain passage à l’euro mettra fin non seulement à l’ère de la couronne tchèque, mais aussi à toute l’histoire de la couronne instaurée sur notre territoire il y a 117, en 1892. http://www.radio.cz/fr/edition/115323 a+
  23. voici la réponse apportée dans Numismatique et change de mars 2009 : D'après les éléments apportés, il pourrait s'agir d'une monnaie du royaume de Bactriane, probablement d'un hémiobole frappé sous le roi Antialcidas (115-95 av JC, d'après le poids de 12 g à vérifier. Avers : buste drapé et diadémé à droite, Légende probablement bilingue grec-kharosti BASILEWS NIKHFOROU ANTIALKIDOU. Revers : les Dioscures galopant à droite En TTB, cette monnaie pourrait coter 60 à 120 euro, plus si rareté. L'ouvrage de référence pour ce type de monnaie est le Michael Mitchiner, The ancient and classical worls, oriental coins. Le royaume de Bactriane était indo-grec, aux portes de l'Inde sur les frontières des actuels Afghanistan, Pakistan, Tagikistan et Kirghistan. A+
  24. ALM

    Epoque féodale ?

    RE POILVACHE se trouve dans la Belgique actuelle mais à l'époque Poilvache dépendait du Conté de Luxembourg C'est dire si les frontières ont évolué depuis ... a+
  25. pantalaimon59280

    2 centimes fautée

    bonjour je vis a la frontieres belge et j ai deja trier beaucoup de pieces et cette erreur de frappe es assez courante deja vus 17 pieces de 2c belge avec decalage surtout du milesime 2000 mais cela reste une erreur de frappe et peux eventuellement servir de piece d echange voila
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