numis87
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Exceptés demi-franc 1587-1588-1589 aucun chiffre de frappe pour les demi et quart de franc d'henri III pour Limoges n'est connu.
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Vu le poids il ne s'agit pas d'un demi-franc mais d'un quart de franc.
C'est bien une frappe pour Limoges, outre le I nous trouvons un O couronné qui est la marque du maitre Etienne Pinchault (de 1578 à 1583).
Quand au millésime il me semble bien que c'est effectivement 1580.
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Pour ceux qui passeraient dans le coin...
Parallèlement à la partie bourse, une exposition organisée autour de deux thèmes sera proposée aux visiteurs.
Quatre vitrines retraceront les échanges monétaires à travers la Méditerranée au Moyen-âge.
La Méditerranée n'est pas seulement une zone de conflits ! Les monnaies présentées dans ces quatre vitrines, dont un certain nombre découvertes en France, montrent l'importance et la richesse des échanges économiques entre les deux rives de la Mer Méditerranée au cours du Moyen-âge.
1. De l'or byzantin à l'or arabe : quand Narbonne et Avignon étaient arabes.
2. Al-Andalus et l'empire carolingien : la circulation des dirhams d'argent en Aquitaine.
3. Au temps des Croisades : quand les chrétiens copient les monnaies arabes.
4. Au temps de la Sicile normande et de la Reconquista : le retour de l'or en Occident.
Deux autres vitrines seront consacrées aux pièces de monnaie des États-Unis d’Amérique (du début 19e à nos jours).
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obole tournois de Philippe III ou IV...
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C'est 1582 avec un Z pour faire le 2.
:evil: ! Erreur de frappe de ma part, c'est bien 1582, d'autant que Grenoble frappa ce type que jusqu'en 1586 (1578-1586). Comme pour beaucoup de monnaies de cette période le 2 du millésime est sous forme Z mais ici on peut penser qu'il a été insculpé à l'aide du poinçon servant à faire le différent d'atelier. PF au revers est la marque du maître Jacques Pierrefort.
La quantité frappée est de 13939 exemplaires mais ce chiffre de fabrication comprend des sols parisis au même type.
R1 est l'indice de rareté de cette monnaie.
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Double sol parisis du Dauphiné
frappé à Grenoble 1587
Duplessy 1138
Quand à l'estimation, personnellement je me refuse d'en donner et cela devrait être la règle.
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C'est une vulgaire reproduction du Reader Digest. Est-elle en OR ? non ?
voir ce lien qui explique très bien :
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C'est un faux double Louis. Existe aussi pour 1786 Limoges.
http://www.snl87.fr/Faussesmonnaies/Louis%20XVI%20Faux%20double%20louis%20d%27or%201786.jpg
Semble en cuivre, celui pour Limoges vendu 30€ sur le grand site de vente.
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Les GT de Philippe III ont un seul P à PHILIPVS.
Les GT à L'O rond (avec 2P à Philippus) sont attribués à Phillippe III ou IV, le changement d'orthographe étant intervenu vers 1280 (Philippe III est mort en 1285).
Les GT à l'0 long sont de Philippe IV.
Les GT de Philippe V se distinguent effectivement par la présence de petites marques (marteau, petit C ou I patté ou T etc..., fleuron cruciforme..etc.
Mais surtout le style diffère des GT précédents. Flan plat et non bombé, le châtel s'allonge. Les lettres sont plus effilées, plus petites et plus espacées. N de NOMEN oncial, le C se ferme, le S est droit et non perlé, IHV XPI séparé par trois points et non généralement par un comme précédemment (des GT de Philippe IV ont parfois ces 3 points).
Avec l'habitude on peut les distinguer au premier coup d'oeil.
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Gros tournois attribué à Philippe III pour la période 1280-1285 ou Philippe IV de 1285-1290.
Si les GT portant un seul P à Philippus sont tous de Philippe III, le changement d'orthographe est intervenu vers 1280 (il est mort en 1285). Ce type de GT à l'O rond est attribué à ces deux souverains.
Les GT de Philippe V se distinguent effectivement par la présence de petites marques (marteau, petit C ou I patté ou T etc..., fleuron cruciforme..etc.
Mais surtout le style diffère des GT précédents. Flan plat et non bombé, le châtel s'allonge. Les lettres sont plus effilées, plus petites et plus espacées. N de NOMEN oncial, le C se ferme, le S est droit et non perlé, IHV XPI séparé par trois points et non généralement par un comme précédemment. Avec l'habitude on peut les distinguer au premier coup d'oeil.
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Je pense que la solution se trouve au M de BENEDICTV(M) qui avec sa graphie particulière (sur le jambage droit) doit-être une marque de maître ou de graveur.
Malheureusement je n'ai pas le Franciae sous la main.
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Pas plutôt un R pour Villeneuve Lès Avignon ?
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Bonjour, ayant regardé avec plus de précision, il semble que la lettre de l'atelier soit un d. Cela me semble très très étonnant étant donné que lyon est à environ 700 kilomètres d'où je l'ai trouvée...
Si vous avez une idée, je suis preneur.
Merci encore.
Rien d'étonnant de trouver une monnaie à des centaines de km de son lieu de fabrication, comme aujourd'hui la monnaie circulait (commerce, voyageurs, soldats, etc...)
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perdu... ce n'est pas un gros d'un roi car on distingue une couronnelle en cantonnement au revers et que la croix du gros de roi n'est pas cantonnée.
Florette, petit blanc aux 3 lis, autre ??? qui sait...!
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Le Franciae est très bien pour répertorier ses monnaies. Par contre il faut prendre les chiffres des monnaies retrouvées comme des données de base qui sont très en dessous de la réalité...et il a maintenant 15 ans.
La meilleure des côtes c'est celle que l'on peut observer en relevant les prix atteints dans les ventes, demandés par les marchands...bref ceux du marché et non ceux de certains ouvrages.
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Valeur presque nulle, ce type de jeton se négocie à moins de 10€ (vu à 6€)...
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Cette monnaie ne correspond pas vraiment au double de Philippe le Bel. Ce type a été imité notamment par le comté de Chiny (Ardennes), voir ci dessous extrait du Boudeau. Il est nécessaire de lire les légendes, surtout à l'avers où est inscrit la titulature.
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pas bien cherché ! I atelier de Limoges....valeur,vu l'état rien ou pas grand chose, un souvenir !
on dirait qu'elle avait été montée car on distingue ce qui parait être le reste du cerclage
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Il suffit de compter les lettres pour voir que le point se trouve sous la 20e avers et revers..(St lô 19e)
Louis XII - Ecu d'or au soleil - Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon.
Différents de maître : croix de saint André
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C'est un quinzain aux 8L à priori surfrappé sur un douzain qui avait été précédemment contremarqué d'un lis sous Louis XIII. Quand au trou c'est de l'usure !
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L'habitude des monnaies de cette période ! On voit immédiatement que en signe initial nous avons un lis couronné qui est caractéristique de Louis XII, ensuite la coquille qui est la "marque" de l'atelier de Dijon avec un annelet 13e à l'avers et ici 10e au revers.
Sinon, en général, pour trouver l'atelier il faut se baser sur la position du "point d'atelier" qui est situé sous une lettre précise. Il y a aussi des signes particuliers.
Trop compliqué à en faire la liste ici, il vous faut consulter des ouvrages ou rechercher sur le net.
voir ce lien par exemple :
http://www.hugon-numismatique.fr/liste_des_points_secrets_et_marques_d_ateliers_639.htm
loin d'être complet et avec quelques "inexactitudes".
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Il s'agit d'un grand blanc à la couronne de Louis XII, frappé à Dijon.
AVERS : (lis couronné) LVDOVICVS* FRANCORVM* REX Coquillage en fin de légende
REVERS : (lis couronné) SIT* NOMEN* DNI* BENEDICTVM
avers et revers.
Duplessy.664
comme celui-ci : http://www.monnaiesdantan.com/vso10/louis-xii-grand-blanc-p322.htm
1389 blanc guénar
dans Avant 1795
Posté(e)
bien le merci !!!!!!!!