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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 11/19/16 dans toutes les zones

  1. Je comprends ta deception, mais les faits sont cruels et tetus Au total, il y a plus de 12 000 000 d'exemplaires de la 2 francs LP1, ce n'est donc pas en soi une rareté. Ensuite, il y a deux sortes de publics qu'elle est susceptible d'interesser : celui qui collectionne par type (il se fout de la date et de l'atelier) ; celui ci cherchera plutot un bel exemplaire d'un millesime courant. Et le specialiste qui veut se faire la serie. C'est celui là qu'il faut viser. Comme dit dans Le Franc 10, réunir une serie complete parait une gageure difficilement surmontable. Et surtout, les raretés relatives ont peu a voir avec les chiffres de frappe initiaux. Mais ta monnaie est très usée, et même si deux "desespérés" se la disputent, il est peu probable qu'elle atteigne des sommets. Quant à l'hypothèse d'une hausse vertigineuse de la côte.... Je ne suis pas certain qu'immobiliser 40 euros pendant vingt ans pour en recupérer 120 si tout se passe comme prévu soit une option interessante. Il me semble plus interessant pour toi de la garder parce qu'elle te plait (c'est toujours très sympa d'avoir une monnaie rare dans ses plateaux) Just my two cents
    4 points
  2. Sauf si tu veux la garder, si celui qui t'a proposé 250 euros est coherent, il doit les poser sur la table : vends la lui vite !
    1 point
  3. Les ateliers monétaires En 1306, il y avait 8 ateliers royaux : Paris, Rouen, Troyes, Tournai, Toulouse, Saint-Pourçain, Montpellier et Montreuil-Bonnin (Monsteriolum), Philippe de Valois affaiblit considérablement ses monnaies, au point que plusieurs de celles d'argent et de billon sont presque de cuivre : ses types sont très variés, il semble que l'on ait voulu, par leur variété et leur beauté, faire oublier les changements qui étaient opérés sur le module, le poids et le titre : pour en donner une idée, il nous suffira de dire que, le 21 mars 1359, les gros de Philippe de Valois valaient deux fois et demie autant que ceux fabriqués sous saint Louis, bien qu'il y entrât dix-sept fois moins d'argent. L'assemblée des trois États convoquée par Jean II en 1355, exigea une monnaie meilleure, mais les États du Languedoc obtinrent seuls satisfaction. A Paris, Etienne Marcel, le prévôt des marchands, interdit le cours des nouveaux deniers blancs de 1356, et se révolta contre l'autorité du dauphin. L'apparition des différents monétaires et des points secrets sur les monnaies Le nombre des ateliers, la fréquence des refontes, les changements d'aloi, rendirent bientôt nécessaires des signes particuliers destinés à faire reconnaître les officines et les monnayeurs qui avaient fait les émissions de numéraire. Telle fut l'origine des différents monétaires. Ainsi, le 25 avril 1360, le dauphin, régent, faisait frapper des gros qui devaient avoir un petit point dans l'O du mot FRANCORVM, et dans celui de IOHANNES; le 28 mai on faisait d'autres gros sur lesquels la fleur de lis, placée au commencement de la légende de l'avers et du revers, de­vait être accostée de deux points. http://www.sacra-moneta.com/Numismatique-francaise-des-origines-a-nos-jours/Les-monnaies-royales-de-France-depuis-l-avenement-des-Capetiens.html
    1 point
  4. Oui, c'est pour ca que j'ai mis " principe" . Il y a des coins réutilisés et modifiés qui servent pour les autres années - Bref, de mémoire, tout est répertorié dans le Mib avec le style utilisé pour le 40 (M) en fonction des années. (puisque c'était l'origine de ta question, A savoir si cela était répertorié)
    1 point
  5. Exact, ici en B elle cote aux alentours de 95 E, de plus les 2 francs sont moins courantes dans les ventes que les 5 francs ou 1 franc. Que ce soit 25 E ou 40 E le prix reste raisonnable. De toute manière tout est relatif. Par exemple j'ai une 2 francs 18..(je ne me rapelle plus de la date) qui fait partie des plus petits tirages et introuvable. Achetée 1E dans une boite. Monnaie trouée à 6h. Vous allez me dire que cela ne vaut plus rien. Oui mais pas pour tout le monde, étant donné sa rareté, même si la cote ne sera pas élevée, elle vaudra quand même un prix correct. Tout ça pour dire que pour moi, ici, nous avons un module assez peu courant avec un tirage faible pour ce millésime, je la classe en B +, cette monnaie ne rentre pas dans le cadre des monnaies "poids argent". Pas comme les 5 francs hercule de 1875 et compagnie ou même les 1 franc cérès 1887 et j'en passe. Ces dernières étaient frappées massivement. Les 2 francs ont souvent des petits tirages pour Louis Phillipe. Avec tous les fous qui rincent les salons et autre pour faire refondre les kilos d'argent à n'en plus finir, ajouté à l'incertitude de la réalité de la refonte d'époque de ces monnaies, cela nous donne un résultat clair de ? Autrement dit, on ne sait pas de qu'il reste. La plupart des collectionneurs comme partout affectionnent les gros modules, certains dessins, etc. Autrement dit, les 2 francs ne sont pas très recherchées. Si demain on s'attarde sur les statistiques d'appartition de ces 2 francs et que X collectionneurs commencent à se spécialiser dessus, les cotes vont vite grimper. Autre exemple: si aujourd'hui 1000 personnes font refondre 100 monnaies de 5 francs 1960 à 1969 par an. Cela fait 100 000 monnaies refondues par an + les monnaies trouées ou montées pour faire des bijoux. Sachant que cela dure depuis bientot 10 ans, on a donc deja 1 million de monnaies refondues... Encore 20 ans et ça fera une nette différence sur les quantités restantes. Résultat: cote élevées.
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