numis87

Vient d'un pendentif, broche ou autre "bijou" serti de cette pièce. Cela lui ôte toute valeur numismatique. Reste celle de sa valeur métal soit environ 22 g de poids de fin.

Vu son état difficile d'intéresser un collectionneur. Par contre, c'est toujours près de 4 g d'or titré à 1000 ‰ ce qui fait qu'elle a une certaine valeur.

Bonjour, cela me fait penser à une reproduction moderne en plomb ou étain....

Bonjour, il ne s'agit pas d'un écu d'or à la chaise mais d'une chaise d'or de Philippe VI (17 juillet 1346). Duplessy 258.

Non, M. Michel Amandry ne se trompe pas, ce qui serait malvenu pour celui qui fut le directeur du Département des Monnaies et Médailles de la BnF pendant plus de 20 ans ! Pour réussir les reformations il était nécessaire "d'appâter" le public en augmentant le prix d'achat des pièces. Par exemple, pour la première reformation (1689), l'écu d'argent de 60 sols est acheté 62 sols puis réémis pour 66 sols : bénéfice 4 sols. En 1693, seconde reformation, valeur d'achat des pièces 65 sols par écu et réémission pour 72 sols, bénef 7 sols...etc pour les reformations suivantes. Au fur et à mesure des reformations on utilise des pièces déjà plusieurs fois réformées et ces refrappes successives finissent par les rendre "illisibles".

Bonjour, C'est simplement une monnaie fautée à cause d'une erreur du graveur qui a inversé le poinçon du 2. De plus on distingue la marque du maître Charles de la Lande, un lion après REX, qui a exercé de 1547 à 1555. Pour terminer, l'atelier était fermé en 1557 puisqu'il fut en chômage du 26 aout 1555 au 14 janvier 1558. Comme on le voit le millésime 1557 est impossible. Aix a frappé des douzains aux croissants de 1550 à 1555 puis en 1558.

Bonjour, Les quarts de franc de Toulouse ne sont pas rares. En revanche ceux frappés à Aix semblent particulièrement rares (et peut-être rarissimes ?) et cela change la donne pour sa valeur. La CGB n'en a pas dans ses archives et aucun n'apparait dans les ventes de monnaies de ces dernières années (par contre, on trouve 3 ou 4 demi-franc 1637 ou 1640.

Bonjour, blanc Charles VII, 4e émission, frappé à Bourges comme l'indique le B final.

Bonjour, cette monnaie n'est pas Nantaise mais Bayonnaise (L et ancre, différent atelier de Bayonne). Très courant, frappe importante.

Il y a confusion, je me rend compte que nous ne parlions pas de la même chose ! La rose se trouve placée entre SALVVM et FAC et c'est bien un soleil après DG.

Désolé de vous décevoir mais il s'agit bien d'une rose, il est vrai plus difficilement identifiable sur une monnaie usagée. De plus, la gravure d'une telle monnaie n'était pas toujours de très bonne qualité. C'est un fait connu et pourquoi vouloir le changer, une rose est la marque de Georges Roettiers graveur à la monnaie de Paris (1703-1715). Au lieu de douter, donnez-vous la peine de chercher une pièce en bon état comme ces 10 sols de 1707 ou de 1705 dont vous ne pourrez pas dire que ce n'est pas une rose. https://www.cgb.fr/louis-xiv-le-grand-ou-le-roi-soleil-dix-sols-aux-insignes-1707-paris-ttb,bry_647869,a.html https://www.cgb.fr/louis-xiv-le-grand-ou-le-roi-soleil-dix-sols-aux-insignes-1705-paris-tb-ttb,bry_211922,a.html Ci-dessous, extrait des Cahiers numismatiques de la Sena n° 216 de juin 2018 (Les différents de la Monnaie de Paris de 1610 à 1715), étude dont A. Clairand est l'un des auteurs.

Bonjour, il ne s'agit pas d'un soleil mais d'une rose, différent du graveur de la monnaie de Paris Georges Roëttiers (1703-1715). Ce différent est bien présent sur les 20 sols notamment de 1707 et 1708 (voir site CGB)

A partir de 1880, les chinois ne tiennent que le trafic de contrebande. A partir de cette date, tout ce qui concerne l’opium en Indochine devient le monopole de l’Etat français. Après que des français aient obtenu l'adjudication de la ferme de l'opium (1861) celle-ci passa ensuite à des chinois (1864-1880) mais fin 1881 l’administration des contributions directes fut créée, afin d’assurer l’exploitation des monopoles de l’opium et de l’alcool. L’achat, la fabrication et la vente de l’opium sont alors confiés à l’administration des douanes. L’importation même à des fins de réexportation, l’exportation, le transit, l’entrepôt, et le transbordement sont interdits sauf pour les besoins de l’exercice du monopole.

Bonjour, je pense que ce jeton n'est pas chinois mais de l'Indochine française. https://www.auction.fr/_fr/lot/rare-et-ancien-jeton-de-fumerie-et-maison-close-en-laiton-que-jeanne-de-brevot-16429141 "Rare et ancien jeton de fumerie et maison close en laiton, que Jeanne de Brevot offrait à ses pensionnaires. Saïgon. Début du XX ème siècle. D 5 cm. Indochine" Grosse ressemblance, notamment des 4 scènes....

Non, les GT attribués au seul Philippe III sont ceux avec 1 seul P et ils sont antérieurs à 1280. C'est l'étude du trésor belge de Grand-Halleux qui prouve que cette évolution orthographique a eu lieu vers 1280 ou un peu avant.

Bonsoir, il s'agit d'un gros tournois à l'O rond de Philippe III (vers 1280-1285) ou Philippe IV (1285-1290). Ce n'est pas le poids qui peut permettre de distinguer les GT de Philippe IV de ceux de Philippe V. En effet le poids légal théorique quasiment le même : Philippe IV 4,219g contre 4.136 pour Philippe V soit 0.083 g (Numista se plante !) Il faut se baser sur l'aspect général : le châtel s'affine et s'allonge, les lettres sont plus effilées, plus petites et plus espacées, la graphie de certaines lettres évolue. Le N de NOMEN devient oncial, IHV XPI est séparé par trois points et non généralement par un comme précédemment. On trouve des différents placés entre les mots : trèfle, croissant, marteau, I patté, P….De nombreux marchands ne savent pas les différencier correctement.

Bonjour, voici un faux écu 1727 Caen (vu aussi un faux quart d'écu 1716 C). https://fr.numiscorner.com/products/monnaie-france-louis-xv-ecu-1727-caen-faux-depoque-tb-argent-km-486-8 A noter que son poids, 29.17 gr, correspond à celui d'un vrai.

Bonjour, il fait vraisemblablement partie des jetons proposés (refrappes) par le Club Français de la Monnaie ce qui explique la présence de ce type poinçon. https://www.tresordupatrimoine.fr/monnaies-et-medailles/1362130-jeton-argent-chambre-de-commerce-de-nantes.html

Bonjour, On distingue bien un semblant de harpe, différent du maître de l'atelier de Limoges David de LA VERGNE ainsi qu'une mauvaise croix censée être celle du graveur François Ponroy (croix longue normalement). La gravure d'ensemble qui est assez grossière montre que cette monnaie est un faux (avis confirmé par un pro, spécialiste des monnaies royales) Pour info, il en a bien été frappé 12 000 ex et si cette monnaie n'était pas fausse elle ne serait pas inédite.

Bonjour, Identifier le différent de maître.... La lettre d'atelier à la pointe de l'écu est un B et cette monnaie a été frappée à Rouen. C'est le différent du maître Claude le Roux qui permet de l'affirmer. Il s'agit d'un chapeau d'épines et deux clous visible entre REX et le millésime. Monnaie très courante et donc très facile à trouver sur Internet. Le différent du maître de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Pierre Thierry, est T R en monogramme après la date. De plus cet atelier n'a pas frappé ce type de monnaie.

Bonjour, La lettre N est le différent du Maître Jean de SORRANDO (1557 [et non 1547] -1559), avec une ancre couchée à gauche (visible entre les deux points après REX). Vous avez donc 3 millésimes possibles. A partir de la fin de 1559 Jean de SORRANDO prit un AIGLE pour différent.

Bonsoir, pièce qui provient peut-être d'un de ces lots de 5 fr 1960 en argent dorée à l'or https://www.arthurmaury.fr/les-pieces-de-france-en-argent/10011772-lot-x10-pieces-de-5-francs-semeuse-argent-doree-or-fin-24-carats.html https://www.arthurmaury.fr/les-pieces-de-france/10011773-lot-5-francs-semeuse-argent-doree-or-fin-24-carats.html et à quel prix ? !

Bonjour, https://www.inumis.com/shop/iiie-republique-10-centimes-lindauer-frappe-medaille-1931-paris-1105109/

Bonjour, site à consulter pour les faux : http://www.infonumis.info/autres_monnaies/fausse/liste.htm#5FR

Bonjour, les médailles de l'époque semblent toutes porter des inscriptions en latin avec la titulature royale CAROLVS X. Dans le cas présent il s'agit plutôt d'une médaillette commémorative moderne. Apparemment pas de nom du graveur ni de poinçon et cette médaillette ne semble pas avoir été gravée mais coulée.