Guillaume Hermann

Bonjour, Précisément, je n'ai pas trouvé le modèle de ce revers.

Bonjour, Elle vaut 1 euro. Il en a été frappé 50 millions d'exemplaires https://fr.numista.com/catalogue/pieces119.html

Je ne parle pas de son âge mais de son accident de voiture ! En 63 elle n'était pas vieille. Du reste elle est toujours très bien pour son âge.

Bonjour, Pour Tarsus en Cilicie, ou http://numismaclub.com/unt/138312-tater_roman_provincial_ae17_coin_dionysus__lion_lydia_sardis.html ?

Bonjour, A mon avis nettement moins, avec ce revers très écrasé, la profonde déchirure du flan, et l'avers façon Isabelle Aubret en 63.

Bonjour, Genre ça mais en beaucoup plus grand et lourd https://picclick.fr/Tetrassaria-de-Gordien-III Ville-d-Edesse-Bronze-provincial-352936385891.html Du coup ce serait quoi comme module ?

Bonjour, Je vois que Constantin V portait le doux surnom de "Copronyme". Ca veut bien dire "Nom de merde" ? ? EDIT : oui, kipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Constantin_V "Constantin V (en grec : Κωνσταντίνος Ε′) dit traditionnellement « Copronyme » (Κοπρώνυμος, c'est-à-dire « au nom de merde », ou « dont le nom est de merde », du grec ancien 'κόπρος' (« excrément ») et de 'ὄνομα' (« nom ») – surnom dont il fut définitivement affublé au lendemain du deuxième concile œcuménique de Nicée (787) qui condamna solennellement l'hérésie iconoclaste dont il avait été un des plus ardents propagateurs) –, « Caballinos » ou « l'Ordurier »"

Ici il y a quelque chose au-dessus du E dans le champ à gauche du portrait. Connaissant les Espagnols, s'agit-il du différent d'atelier/de graveur ?

Genre ça, à préciser https://alexrayon.es/2012/03/03/la-adiccion-nuestra-los-sapiens-sapiens-al-oro-ii/

Bonjour, Il me semble que les Espagnols ont aussi pratiqué la trombine de face avec bouclettes de chaque côté.

Bonjour, La légende correspond à Constantin Ier mais impossible d'identifier cette monnaie !

Bonjour, Coloniale romaine, probablement d'Alexandrie.

Bonjour, Perse ? A cause de la forme. Ce lot n'est pas européen, tu sais d'où il vient ?

Bonjour, La seconde photo, si elle est à l'envers, pourrait montrer de l'arabe ou du perse très ancien.

Bonjour, Probablement une imitation d'époque d'un nummus de ce genre https://www.tesorillo.com/aes/146/146i.htm Ve siècle.

Bonjour, Même le nom de ce peuple je ne le connaissais pas... Chapeau de Gilley.

Bonjour, Pas pour les courantes en cuivre républicaines ou juste avant. Aucun souci. Par ailleurs la monnaie demandée ne correspond pas au lien que tu as donné : celle-ci est de la série qui a le nom (son initiale, plutôt) de la province émettrice dans un rond central. Série de 1906 avec plein d'infimes différences https://fr.numista.com/catalogue/index.php?ct=coin&ru=52&p=2

Bonjour, Merci le Diablinte. Sur ton premier lien, les types 4 ("ancien") et 7 ("il y a quelques années") sont extrêmement proches.

Bonjour, Les 12 et 13 novembre 2004 je n'avais pas encore internet à l'appartement, je ne l'ai eu que pour la rentrée universitaire 2005. Je vous jure monsieur le commissaire !

Bonjour, Donc 1455. merci ?

J'en serais surpris. 2 exemplaires, entre nous, c'est plus rare que beaucoup de médaillons romains impériaux. Pour un objet censé être de la vie courante des ménagères pendant 2000 ans, j'y vois un problème.

Par sécurité je copie-colle ici les infos et photos de Fabien1655 sur ton lien : Lieu de la découverte : jura Poids de l'objet : 9,92 g Dimension de l'objet : Ø 25mm ép.7mm Métal de l'objet : plomb étain Commentaire : En ce début mai, je prospecte aux alentours de mon village du haut-jura, sur un chemin encore visiblement marqué dans un sous bois qui conduisait à une ruine de maison appelée chez nous "chesal". Après avoir fait la bordure droite et sorti une monnaie de cuivre très rongée par le temps, je passe le détecteur sur l'autre partie en remontant: un son très net retentit, je creuse une dizaine de cm et je sors une sorte de rondelle épaisse recouverte de terre. Au retour je nettoie l'objet, et surprise je vois apparaitre des inscriptions sur une face (pater et une date 1604) t sur l'autre face (jehan gruet). Il s'agit d'une fusaïole en plomb étain de fabrication artisanale d'un poids de 9,92 g, de 25mm de diamètre, trou intérieur 11mm et 7 mm d'épaisseur. Très heureux de ma trouvaille, pour la première sortie de l'année 2011. (D'après mes recherches il existait dans mon village au 17e siècle une famille Gruet horloger de métier, et dans l'état civil un certain Jehan Gruet né en 1600). S'agit il de lui?

Ah, pas mal. Une photo serait chouette. On est déjà nettement plus dans le passé que "1870 voire les années 1930".

Bonjour, Diamètre stp ? Il n'y a jamais de date sur les monnaies à cette époque et la désignation de l'atelier se fait par un système de point (s) dont la lecture nécessite de meilleures photos (lumière naturelle et si possible meilleure définition).

Nous ne nous sommes peut-être pas compris. Je connais les fusaïoles en forme de disque percé, en pierre, terre cuite, os, bois... Et plus ou moins décorées. Je ne doute pas qu'il en ait existé en métal. Ce qui me chiffonne, c'est que l'immense majorité de ce qui est déterré (et jamais trouvé dans un tiroir) est le type à cabochons, en plomb ou assimilé, qu'on répond systématiquement que ce modèle précisément n'est pas ancien, alors que personne n'en a de photo d'époque, ni de photo récente d'un système monté d'époque, et c'est toujours le cas ici avec vos réponses ! Et aussi, jamais personne n'en a récupéré de sa grand-mère ou à la brocante, c'est toujours trouvé dans le sol. Vous noterez également qu'aucune de ces fusaïoles dans vos liens ne présente de cabochons, alors même que c'est très facile à faire en terre cuite et faisable en os (et même en pierre). Wendling fournit le prix de vente des fusaïoles sous le Second empire mais n'en donne aucune référence permettant de voir la forme et la matière. Alors que c'est une époque dont nous avons conservé une infinité de photos, de papiers, de tissus, de meubles, de monnaies, de machines, même de chapeaux à plumes, tout de la vie quotidienne à la vie professionnelle ! Le Musée des Arts et métiers existait depuis 60 ans et consacre toute une salle au tissage avec des machines encore bien plus anciennes : aucune fusaïole à cabochon. On a été capable de conserver les bobines de fil (ultra-périssable), les machines en bois, et pas la partie en plomb ?