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Guillaume Hermann

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Tout ce qui a été posté par Guillaume Hermann

  1. Guillaume Hermann

    1421 gros

    C'est du billon, pas du bronze.
  2. Bonjour, Ca m’en a l’air, avec une frappe particulièrement décentrée. Le portrait le plus proche que j’aie trouvé est ici http://www.ma-shops.com/crinon/item.php ... 28〈=fr et le listel apparaît sur d’autres quinaires mieux centrés ici http://www.google.fr/search?tbm=isch&hl ... l1.6.2l9l0
  3. Guillaume Hermann

    1421 gros

    Première photo, à partir de 3H00 on devine probablement SIT NOMEN DOMINI BENEDICTV (sans S final), donc c'est sur l'autre face que ça se joue.
  4. Bronze à l'oiseau des Senons http://cgi.ebay.fr/Monnaie-Gauloise-Bronze-a-loiseau-/140673641491 et http://www.numishop.eu/boutique1.php?boutique=mo_gau&z1=&z2=S%C9NONS+%28r%E9gion+de+Sens%29&z3=&z4=&z5=&z6=&z7=&z8=&zd=&tri=
  5. Un siège curule ? Et ce qui se termine en LUS serait un nom de cité, quelque chose qui ressemble à METELUS ?
  6. Oui, Charlemagne, entre 794 et 812. La deuxième ici http://www.ogn-numismatique.com/periode ... rchive=oui Sacré ensemble que tu nous présentes. Je vais devoir nettoyer mon ordi, je pense que j'ai bavé dessus.
  7. Bonjour, En effectuant une recherche sur un denier de Louis le Pieux, j’ai découvert une mine d’infos sur les monnaies du Vème au Xème siècles : la collection Bernard Chwartz. Deux pdf à télécharger ici http://www.ogn-numismatique.com/upload/ ... S_1_46.pdf et http://ogn-numismatique.com/upload/PDF/ ... _45_88.pdf Il existe également un site qui ajoute à ces monnaies celles des Wisigoths, des Suèves, « d’autres Barbares », les jetons de notaires et les jetons du Languedoc http://bernard.chwartz.free.fr/_index.htm
  8. Guillaume Hermann

    Denier Louis le Pieux

    La monnaie 659 du lien CGB de Hpdp et son lien Inumis donnent des prix. CGB signale en plus que « P. Crinon in, Tours études numismatiques n°6, 1997, s'est livré à une étude très complète sur le monnayage carolingien de Tours. »
  9. Guillaume Hermann

    Denier Louis le Pieux

    J'ai tout de même l'impression que celui de Rico présente une surface absolument polie du côté de TVRONES et qu'il est le seul ?
  10. Guillaume Hermann

    Denier Louis le Pieux

    En voici un, il a beau être quasi SUP, il est bien moins net que le tien http://www.ogn-numismatique.com/article ... ticle=3638 Pas trouvé de faux annoncé comme tel.
  11. Guillaume Hermann

    Denier Louis le Pieux

    BANNI ! :twisted: Bon, à part ça, je suis à peu près certain qu'elle est fausse : relief trop marqué sur les deux faces, et plat parfait de la surface autour de TVRONES. Je vais regarder si je trouve des faux comparables.
  12. On t'avait dit que c'était peut-être une pièce des Indes, on te trouve un Indien coiffé pareil et tu n'es pas content ! Non mais, le lecteur se fait difficile, moi je vous le dis ! Quant à Alexandre III, tous les Parisiens savent que c'est le roi des ponts.
  13. Guillaume Hermann

    165? 1 liard

    J'en ai écrit une, ce n'est pas l'atelier de Tours mais celui de Meung-sur-Loire http://liardsdefrance.over-blog.com/art ... 53065.html
  14. Guillaume Hermann

    1694 1 liard

    Semble présenter un énorme surplus de métal sur la gorge du roi et une cassure de coin devant son visage, ce qui en fait une curiosité mais n'augmente guère sa valeur.
  15. Internet explorer chez moi.
  16. Tout est normal chez moi.
  17. J'ai vu il y a deux semaines une médaille "Connaissances actuelles", je ne sais plus si elle était consacrée à Colbert ou un autre. Quoi qu'il en soit, elle était récente (années 1950 à 1980 ?) mais de très beau graphisme et d'apparence (trompeusement) ancienne.
  18. Guillaume Hermann

    1793 1 sol

    Pour l'année c'est facile : 1 sol aux balances, type avec date grégorienne, frappé uniquement en 1793.
  19. Oui, regarde le lien mis par Hpdp.
  20. C’est bien Sens ! « Sur un denier avec SENNES la croix pattée est remplacée par une croisette haussée sur trois degrés » : Traité de numismatique du Moyen-Age, Arthur Engel et Raymond Serrure, Ernest Leroux - Paris, 1891, réédition en 1905, réimpression en fac-similé par Elibron classics – Etats-Unis, vraisemblablement au moins en 1999, 2004 et 2005, en trois tomes (http://www.elibron.com/english/search/f ... earch.y=14 ), tome 1 page 217 (donc dans « Les premiers carolingiens ») http://books.google.fr/books?id=b1OuqJl ... ES&f=false
  21. Probablement un denier, mais je ne trouve rien pour le moment. Je lis NNE sur la première photo et +FR+ sur la seconde, c’est ça ?
  22. Bonjour, La photo du haut est à l'envers, cela représente une croix sur trois degrés, et la photo du bas est à 45° environ. Je continue à chercher.
  23. Elle n’a rien de thaïlandais, je pense que jdr15 confond avec la 10 baht qui est souvent refilée pour une pièce de 2 euros http://www.google.fr/search?tbm=isch&hl ... 66&bih=651 La Thaïlande a le bouddhisme pour religion d’Etat et compte moins d’1% de Chrétiens, dont une partie de Protestants.
  24. Bonjour, J’ai eu en main un jour un livre allemand en allemand dénonçant les camps de concentration, avec, sur la couverture, un dessin fort éloquent de tours et de barbelés. Ce livre datait d’avant 1914 et dénonçait les camps de concentration anglais en Afrique du sud. Le comportement anglais vis-à-vis des Boers (extermination des civils, exécution des prisonniers de guerre…) avait suscité une vague d’indignation dans à peu près le monde entier, et des volontaires de tous pays, dont des Français (pour les plus connus Robert de Kersauzon, http://qc.novopress.info/5396/le-dernier-commando-boer/ et Villebois-Mareuil qui y fut tué http://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_de ... is-Mareuil ) sont partis combattre pour aider les Boers. Il y eut aussi pas mal de livres sur le sujet, je possède un almanach patriotique français de 1902 dont c’est un des thèmes principaux. Sur les camps de concentration avant la Seconde guerre mondiale : http://fr.wikipedia.org/wiki/Camp_de_co ... _des_Boers « L'expression « camp de concentration » fut créée à la fin du XIXe siècle. En effet, l'innovation technique du fil de fer barbelé permit de clore de vastes espaces à peu de frais. La première utilisation de ce terme se fit à propos de la Seconde Guerre des Boers, comme innovation britannique. Il était inspiré du terme espagnol « reconcentración », utilisé par les Espagnols pendant la guerre avec Cuba (1895-1898). (…) La première apparition de la dénomination « camp de concentration » est due aux Britanniques en Afrique du Sud durant leur guerre contre les Boers ; (Guerre du Transvaal, 1899-1902) ; sur ordre du général Frederick Roberts puis de Lord Kitchener, les Britanniques assistés des Canadiens y enfermaient les femmes, les vieillards et les enfants des Boers et des membres de tribus indigènes alliées. L'idée elle-même avait été appliquée un peu plus tôt par les Espagnols à Cuba, pendant la guerre d'indépendance. (…) Il y a eu également les camps de concentration construits dès 1904 en Namibie (par les Allemands) (…). Les camps de concentration ne sont apparus qu'après l'invention du fil de fer barbelé, qui permet de clôturer de grandes surfaces pour un coût sans commune mesure avec les moyens de détention classiques tels que les prisons. (…) tous les pays liés au premier conflit mondial ont ouvert des camps pour regrouper les civils des nations ennemies : camps pour Allemands en Australie, pour Belges en Afrique allemande, pour Autrichiens en Russie, etc. Au Royaume-Uni, 32 000 étrangers ou espions supposés ou Irlandais après 1916, ont été enfermés dans des camps comme le champ de course de Newbury, puis dans une prison de l'île de Man qui n'était pas prévue pour des civils. Des tailleurs juifs de Londres, issus de Galicie (donc de l'Autriche-Hongrie) sont aussi internés dans des camps. La France a utilisé des camps de concentration durant la Première Guerre mondiale, dont celui de Pontmain, pour y enfermer les ressortissants allemands, austro-hongrois et ottomans présents sur son territoire à l'ouverture des hostilités. De nombreuses îles françaises de la Manche, de l'Atlantique et de la Méditerranée ont été utilisées pour implanter de tels camps. Le narrateur du Temps retrouvé de Marcel Proust, mentionne l'existence en France de camps de concentration lors de la Première Guerre mondiale, où furent internés les civils allemands présents sur le sol français lors de la déclaration de guerre. (…) La France a aussi eu à nouveau recours à des camps de concentration à la fin de la guerre d'Espagne pour regrouper les réfugiés républicains fuyant l'avancée du camp franquiste à Gurs, Rivesaltes, Argelès-sur-Mer et Agde, bien que beaucoup de ces réfugiés n'aient pas été des ennemis. L'utilisation du terme « camp de concentration » dans ce cadre est très discutée : pas de travail forcé, pas de dépersonnalisation, libre déplacement à l'extérieur de ces camps (d'ailleurs très peu étaient fermés). (…) Selon Geneviève Dreyfus-Armand, spécialiste de l'exil républicain espagnol : « Le terme camp de concentration peut choquer ; il est couramment utilisé dans les documents administratifs de l’époque, et le ministre de l’Intérieur, Albert Sarraut, l’emploie dans un sens « lénifiant » lors de sa conférence de presse au début de février 1939 : « Le camp d’Argelès-sur-Mer ne sera pas un lieu pénitentiaire, mais un camp de concentration. Ce n’est pas la même chose. » »
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