numis87

le point d'atelier est parfaitement visible et se trouve sous la 19e lettre ce qui indique une frappe à Saint-Lô. Je pense qu'il est très facile d'obtenir la liste des principaux ateliers avec leur marque. Cela ne résoudra toutes les attributions mais une très grande partie.

florette frappée à Paris (annelet sous la croisette intitiales), 2eme émission du 21/10/1417 (Duplessy 387A)

AVERS : + HLOTHARIVS IMP. Croix cantonnée de quatre besants. REVERS : XPISTIANA RELIGIO. Temple tétrastyle avec fronton triangulaire. Lothaire 1er - Denier au temple.

Il est tentant de voir un 6 sur 5 mais c'est un 5...tout simplement. Évidement ce n'est pas la même cote car très courante !

Poitou (Comté de), au type de Charles le Simple, denier immobilisé, Melle A/+ CARLVS REX R, Croix En deux lignes : MET/ ALO Avec l'usure présentée, un diamètre de 20 mm et un poids de 0,70 g c'est un denier. Les deniers en bon état de ce type font entre 20 et 22 mm (21 en moyenne) pour un poids légèrement supérieur au g mais on en trouve en dessous. L'obole c'est 17 mm pour un poids autour de 0,50 g. J'en possède une très belle de 17 mm et 0,47 g.

Point 11e, frappé à Saint-Pourçain. De plus on distingue un I final, marque du maitre Jehan Menadel (1519-1529)

Le site de référence de la numismatique Limousine http://www.snl87.fr Le site de référence de la numismatique Limousine. Les différentes rubriques présentent un inventaire le plus précis possible des monnaies, billets, médailles et jetons de notre région, avec des photographies et des commentaires historiques. L’ensemble des périodes (2000 ans) de l’histoire de la monnaie limousine est largement documenté. Monnaies Gauloises des Lémovices, féodales frappées par les vicomtes et par l’abbaye Saint Martial de Limoges, les vicomtes de Turenne et les comtes de la Marche, sans oublier celles du Prince Noir. Les émissions royales de notre atelier prennent une place très importante puisqu’elles couvrent une période allant de 1372 jusqu’à la révolution. Les monnaies « révolutionnaires » et ensuite « modernes » sont représentées jusqu’en 1835, dernière année de frappe avant la fermeture définitive en 1837 de l’atelier monétaire. Les divers billets de nécessités émis dans la région ainsi que les médailles et jetons y sont recensés. Le site présente aussi la Société, ses activités et ses publications avec également des rubriques d'actualité numismatique, d'identification et d'utilisation pédagogique des monnaies.

Vous avez mal lu les légendes ! D'abord ce ne peut pas être Philippe VI ou une Bourgogne car nous aurions un grand lis au dessus de FRAN (ici une croisette) la bonne lecture est : + EDWARDVS COMES. BRAN CORV en 2 lignes + MONETA DVPLEX et oui ce n'est pas FRAN mais BRAN ! FRAN était impossible Imitation du double parisis de Philippe VI. Duché de BAR, double de Yolande de Flandre au nom de Edourd II. En l'absence je vous laisse trouver les bonnes références...avec un peu de bonne volonté !

L'original est un double parisis du 4e type de Philippe VI et on trouve plusieurs imitations. Il ne me semble pas lire IOHANES, la titulature se termine plutôt par VS...bien que je doute un peu de PHILIPPVS.

Charles IX, sol paris frappé à Limoges. Type frappé dans cet atelier de 1565 à 1569. Pour 1565 et 66 on trouve une rose (maitre Jehan Dubois) après la date et pour 1567 et 68 un pélican, différent du maitre Jacques Juge.

Ce n'est pas un douzain mais un blanc guénar de Charles VI, 2e émission du 11/09/1389 (Ref : Duplessy 377a) Son état ne permet pas de distinguer avec certitude l'atelier de frappe, peut-être Tournai ?

Denier que l'on peut dater de la fin du XIe siècle. Pour plus de précision voir ce lien : http://www.snl87.fr ("Féodales" - "Anonymes des vicomtes")

Le coin n'a pas été regravé.Une pièce qui présente ce défaut est dite tréflée. Parfois, un seul coup de marteau ne suffisait pas pour obtenir une monnaie parfaite; il fallait frapper un second coup. Comme il était difficile de repositionner le coin de manière parfaite on a ce genre de défaut. Une mauvaise frappe pouvait également provoquer un tréflage. Courant sur les monnaies frappées au marteau.

un guénar

Florette

Guénar

Blanc

bien le merci !!!!!!!!

Exceptés demi-franc 1587-1588-1589 aucun chiffre de frappe pour les demi et quart de franc d'henri III pour Limoges n'est connu.

Vu le poids il ne s'agit pas d'un demi-franc mais d'un quart de franc. C'est bien une frappe pour Limoges, outre le I nous trouvons un O couronné qui est la marque du maitre Etienne Pinchault (de 1578 à 1583). Quand au millésime il me semble bien que c'est effectivement 1580.

Pour ceux qui passeraient dans le coin... Parallèlement à la partie bourse, une exposition organisée autour de deux thèmes sera proposée aux visiteurs. Quatre vitrines retraceront les échanges monétaires à travers la Méditerranée au Moyen-âge. La Méditerranée n'est pas seulement une zone de conflits ! Les monnaies présentées dans ces quatre vitrines, dont un certain nombre découvertes en France, montrent l'importance et la richesse des échanges économiques entre les deux rives de la Mer Méditerranée au cours du Moyen-âge. 1. De l'or byzantin à l'or arabe : quand Narbonne et Avignon étaient arabes. 2. Al-Andalus et l'empire carolingien : la circulation des dirhams d'argent en Aquitaine. 3. Au temps des Croisades : quand les chrétiens copient les monnaies arabes. 4. Au temps de la Sicile normande et de la Reconquista : le retour de l'or en Occident. Deux autres vitrines seront consacrées aux pièces de monnaie des États-Unis d’Amérique (du début 19e à nos jours).

obole tournois de Philippe III ou IV...

:evil: ! Erreur de frappe de ma part, c'est bien 1582, d'autant que Grenoble frappa ce type que jusqu'en 1586 (1578-1586). Comme pour beaucoup de monnaies de cette période le 2 du millésime est sous forme Z mais ici on peut penser qu'il a été insculpé à l'aide du poinçon servant à faire le différent d'atelier. PF au revers est la marque du maître Jacques Pierrefort. La quantité frappée est de 13939 exemplaires mais ce chiffre de fabrication comprend des sols parisis au même type. R1 est l'indice de rareté de cette monnaie.

Double sol parisis du Dauphiné frappé à Grenoble 1587 Duplessy 1138 Quand à l'estimation, personnellement je me refuse d'en donner et cela devrait être la règle.

C'est une vulgaire reproduction du Reader Digest. Est-elle en OR ? non ? voir ce lien qui explique très bien : http://www.numismatique.com/forum/bibliotheque/domine-spes-mea-1752-franc-valeur-identification-t55652.html