numis87

Bonjour, il s'agit d'un blanc guénar frappé à Montpellier (point 4e). 2e émission du 11 septembre 1389 (différent d'émission par un point plein). Les deux croissants superposés dans les légendes sont typiques de cet atelier.

Bonjour, Il s'agit d'un liard. Sols et demi-sols ont la légende du revers FRANCIÆ ET NAVARRÆ alors que celle d'un liard c'est FRANC ET NAVARR sans Æ.

J'avais bien évoqué le rôle nocif des "nombreux composés et substances chimiques présents dans les matériaux (carton, papier, plastique, colle) utilisés pour la fabrication de la présentation". De plus la monnaie n'est pas dans une capsule mais entre 2 feuilles de plastique me semble-t-il.

La face de cette monnaie est complétement usée. En agrandissant et en mettant du contraste on distingue des restes de la légende qui a été complétement effacé comme le portrait.

Il est bien connu qu'au fil du temps l'argent à tendance à noircir ou à jaunir. Bijoux, argenterie ou monnaies s'oxydent et changent de couleur. De plus, la pièce est exposée aux nombreux composés et substances chimiques présents dans les matériaux (carton, papier, plastique, colle) utilisés pour la fabrication de la présentation. Et l'argent n'aime pas.

Vraisemblablement la patine de la face exposée à la lumière. Dans un coffret, les pièces peuvent jaunir plus ou moins selon leur teneur en argent et leurs conditions de conservation. Comme le souligne hpdp, c'est une certaine forme d'oxydation de l'argent pur qui peut prendre différents coloris.

Bonjour, Ecu d'or au soleil de Charles VIII, émission du 11/09/1483. Point 11e, atelier de Saint-Pourçain. Ref : Duplessy 575 (1re émission)

Rien qu'une usure normale sur une pièce de monnaie qui a circulé.

Voir ce site : Répertoire de FAUSSES monnaies modernes "POUR SERVIR" http://www.infonumis.info/autres_monnaies/fausse/liste.htm

Bonjour, vous êtes sérieux ?

Bonjour, dans l'ouvrage d'Arnaud Clairand, Monnaies Royales françaises et de la révolution, 1610-1794, qui vient de paraître, l'indice de rareté est R1 (rare), 70€ en TB, 90 en TB+, 130 en TTB....

Bonjour, Avec la croix cantonnée de 2 couronnelles et de 2 lis c'est bien un guénar, 2e émission du 11/09/1389. Monnaie sans point d’atelier visible, donc frappé à Paris. Le demi-guénar est cantonnée d'un lis et d'une couronnelle sauf ceux de la 1re émission, frappés du 26 septembre 1388 au 24 octobre 1388 qui ont 2 couronnelles et de 2 lis mais qui se distinguent par un 0 long. Un demi-guénar pèserait moins de 1,6 g et, comme Guillaume, je pense que 2 g ce n'est pas le poids exact de cette pièce d'un poids légal théorique de 3,296 g.

Bonjour, c'est un billet de fantaisie, un parmi tout ceux émis par Gabrisnote (Slovaquie), Association civique des collectionneurs de Gábrišov (OZ), créée dans le but de soutenir et de présenter les œuvres de Matej Gábriš et en même temps de fédérer la communauté de ses partisans et admirateurs.

Bonjour, ni erreurs ni fautées pour les fins de légendes mais simplement le graveur qui est obligé de composer avec la place qui lui reste pour terminer la légende. Ainsi on rencontre REX RX RE R à l'avers. Le graveur peut anticiper en abrégeant plus ou moins FRANCORVM et FRAN FRANC FRANCO etc pour pouvoir graver REX en entier. Certains graveurs abrègent DEI GRACIA en D G ce qui permet d'avoir une fin de légende complète. Il faut dire que la légende est particulièrement longue avec la marque de maître et l'ancre. Au revers on trouve IMP IMPER IMPERA IMPERAT. Bien sûr il existe des erreurs de gravure comme ici INPERA ou encore RENA. Beaucoup de variantes de légendes pour ces écus de Bayonne du 5e type.

Bonjour, il y a eu beaucoup de faux de 10 francs Mathieu en circulation avec la frappe généralement désaxée, les faussaires ne s'embarrassant pas de l'orientation. Le poids pouvant dépasser légèrement les 10 g. Existent à de nombreux millésimes, en divers métaux et avec la tranche A ou B lisible. Exemple : https://www.cgb.fr/faux-de-10-francs-mathieu-tranche-a-1980-pessac-f-365-8-var-sup58,fmd_144673,a.html

Bonjour, Effectivement, un blanc florette de Charles VII a une croix longue. Le type de croix du revers de ce fragment de pièce est parfaitement semblable à celui d'une florette de Charles VI, du dauphin ou encore du duc de Bourgogne au nom de Charles VI.

Bonjour, le problème avec ces fausses 20 frs 1939 c'est qu'elles sont souvent très bien réalisées et difficiles à reconnaitre. Il faut connaitre son poids et diamètre très précisément. Vous dites qu'elle pèse 20 g au 1/100e près. Pour une pièce ayant circulé et qui est un peu usée son poids devrait logiquement être légèrement inférieur à 20 g ? https://www.numismatique.com/forum/topic/24203-20-francs-1939/ https://sites.google.com/site/copiereplicamonnaiesdefrance/accueil/turin

Bonjour, ok pour le comté d'Anjou pour Charles de Valois. Av :+ KAROLVS COMES, lis au 1er canton. Rv : ° ANDEGAVENSIS, annelet en début de légende. Clef accosté à gauche d’un lis, à droite d’une rose. Je pense qu'il s'agit bien d'un piéfort. On voit qu'il est en billon, usé et corrodé (ce qui explique qu'il n'est plus très rond) après avoir passé des siècles dans la terre et peut-être abimé lors des labours successifs puisque c'est là qu'il a été trouvé. Son poids est tout à fait plausible pour un piéfort. Lors de la vente d'un denier de ce type, la CGB apporte des informations très intéressante qui accréditent la thèse qu'il s'agit bien d'un piéfort dont la description correspond parfaitement à celle du denier de la CGB. "Ce type monétaire, avec un lis dans le premier canton et un annelet en début de légende du revers, correspond au piéfort illustré dans l’ouvrage de Poey d’Avant (n° 1541, pl. XXIX, n° 9). Le denier correspondant à ce piéfort n’avait pas encore été retrouvé. Nous connaissons toutefois deux autres exemplaires figurant dans des collections privés et non publiés à ce jour. Ce denier appartient très certainement à la dernière émission féodale angevine." Lien : https://www.cgb.fr/anjou-comte-danjou-charles-de-valois-denier-tb-,bfe_462416,a.html Malheureusement Poey d'Avant ne donne pas le poids de son piéfort. je ne sais pas où se trouve actuellement le piéfort situé au Cabinet de France par Poey d'Avant . Pas trouvé sur Gallica. A votre place je prendrai contact avec la CGB pour un avis.

Bonjour, sur votre dernière photo on distingue assez nettement le mot MARTINVS Sur une autre de vos photos de l'avers on peut lire quelques lettres qui nous orientent vers la légende + TVRONVS CIVI. Pour moi il s'agit d'un denier anonyme de l'abbaye de Saint-Martin de Tours et donc d'une monnaie féodale. Av : SCS MARTINVS, châtel tournois Rv : TVRONVS CIVI, croix Boudeau185 - PAoey d'Avant 1646. ex : https://www.cgb.fr/touraine-tours-abbaye-de-saint-martin-de-tours-denier-ttb-,bfe_452099,a.html

Bien évidement, une erreur de frappe !

Selon moi, pas de raison de douter de son authenticité. Il présente toutes les caractéristiques d'un TD frappé à Villefranche. 2 exemples avec le A final. https://www.inumis.com/shop/francois-ier-double-tournois-a-la-croisette-villefranche-de-rouergue-1307440/ https://www.inumis.com/shop/francois-ier-double-tournois-a-la-croisette-villefranche-de-rouergue-1000210/ autres : https://www.inumis.com/shop/?s=villefranche&product_status=archive&post_type=product&pa_atelier=villefranche-de-rouergue&product_cat=monnaies&-mars-1541&pa_date=s-d-1541-1543

Bonjour, il s'agit d'un double tournois à la croisette frappé à Villefranche-de-Rouergue (lettre X) A/ + FRACISCVS. (D. G. REX . °V gothique °A° Trois lis posés deux et un, sans trilobe R/ + SIT: NOMEN: B °V gothique °A°. Croisette dans un quadrilobe annelé, au-dessous atelier X Réf : Dy.935. Sb.4268. Un V gothique pour l'atelier de Villefranche-de-Rouergue. Le °A° en fins de légendes est le différent du maître Michel Amat (1544-1545)

Bjr, c'est un denier tournois mais à qui l'attribuer ??? le choix est vaste.

C'est la photo d'un double tournois avec la description d'un denier tournois...utilisation d'une fiche ancienne qui n'a pas été mise à jour correctement.

Bonjour, Atelier de La Rochelle, le triangle visible à la fin de la légende de l'avers est la marque du graveur Jean Desbordes (1602-1607). Il serait possible d'affiner si on pouvait distinguer le différent de maître : une gerbe de1602 à 1605 pour Gabriel Delannet (1600-1605) ; une tour pour Jacque Prieur (1606-1609).