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Guillaume Hermann

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Tout ce qui a été posté par Guillaume Hermann

  1. Non, c'est le revers.
  2. Le côté numismatique de la chose est sans appel, ça relève d'un forum de collectionneurs de montres comme le dit Alm.
  3. C'est Constance II. Tu as ici http://www.tesorillo.com/aes/_anv/constantius2_i.htm la liste des 24 revers qui peuvent se trouver associés à cet avers. A vérifier un par un...
  4. Et aussi le DUPLESSY AVION SAINT-ESPRIT, mais tu ne le trouveras pas, parce que Sophie l'a pris (sans m'avertir) vers 0:33 : https://www.youtube.com/watch?v=AtYcPgLXzG8
  5. Bonjour, Pas d'info mais à mon avis juste une kitscherie de mauvais goût... Dans les années 70, on trouvait en quantité des couteaux suisses, des coupe-ongles ou des coupe-cigares fait dans "une" (en fait deux, sciées en deux chacune) monnaie de 5 francs, généralement Napoléon III ou Louis-Philippe. Ca emballait du tonnerre, dans la boîte à gants de la R 15 avec des peaux de mouton sur les sièges avant. Avec une spécificité : dans le cas de ta montre, j'ai l'impression que la monnaie est fausse.
  6. Ce n'est pas le même atelier, celui du lien est de Saint-Palais et celui d'Olivieromain de Pau.
  7. Et pour la culture, une imitation italienne de ces vieux grigous de Desana http://www.inumis.com/vso/V00003/italie-comte-de-desana-dauphin-tizzone-liard-imitation-de-bearn-a5650.html La légende permet de faire la différence et sur le tien, on lit bien ENRI. Il semble fort rare.
  8. Liard du Béarn de 1551, ce qui perturbe beaucoup M. Sombart, d'Inumis http://www.inumis.com/vso/V00006/bearn-seigneurie-de-henri-ii-liard-au-monogramme-1551-sic!-pau-a9745.html
  9. Bonjour, Un nettoyage selon la méthode indiquée par Hpdp (et pas une autre) lui fera en effet beaucoup de bien; quant aux images, essaye de la scanner.
  10. Le style est très Hans Krauwinckel donc 1562-1586 (le premier) ou 1586-1636 (le second), mais en général ils signaient au moins par leurs initiales (et c'est probablement sous les pieds des soldats qu'ils l'auraient fait).
  11. Il ressort de l'étymologie même ("contremarque") qu'une contremarque est postérieure. Elle va "contre la marque", c'est-à-dire qu'elle modifie ce qui était écrit au départ. En fait, ici on ne devrait pas parler de contremarque, puisqu'une contremarque modifie une des informations présentes sur la monnaie ou, au moins, fait passer une information : elle modifie la valeur de la monnaie, elle atteste que cette monnaie a été contrôlée, éventuellement elle représente un symbole politique (dans ce cas la qualification de contremarque est discutable aussi si c'est l'œuvre d'un particulier)... Pour ta médaille (et bien d'autres), il s'agit juste de coups de poinçons.
  12. Si c'est la définition de la chose qui te pose problème, clique sur ce syntagme dans ton propre message et, ô surprise ! Grâce au meilleur de la technologie française, tu arriveras directement sur une définition qui, bien comprise et retenue, fera l'admiration de tes amis lorsque tu la réciteras, une coupe de champagne à la main, à l'hippodrome.
  13. Bonjour, Une médaille de saint Georges, au joli style XVIIIème mais martyrisée par un abru.. Elle était supposée protéger le voyageur qui la conservait avec lui. Il en existe des milliers de variétés sur plusieurs siècles, tu ne verras jamais exactement la même.
  14. Selon une ancienne vente Ebay à laquelle on ne peut plus accéder, il doit exister un jeton associant ce revers à un avers dédié à Henri III.
  15. Bonjour, C'est un jeton de compte, de style Nuremberg mais apparemment non signé. Légende d'avers INITIVM.SAPIEN TIAE.TIMOR.DNI (pour DOMINI) soit le psaume "la crainte du Seigneur est le commencement de la sagesse"; légende revers CONCORDI MIL pour CONCORDIA MILITVM ("la concorde des soldats"). Probablement XVIème siècle, sinon XVIIème.
  16. Les Chinois aussi te remercient, à chaque monnaie tu as dû leur payer 1 à 5 jours de nourriture !
  17. Peut-être bonne alors. Vérifie quand même qu'à aucun endroit les cannelures ne se chevauchent.
  18. Guillaume Hermann

    1767 écu

    Il y a bien longtemps, j'avais fait un relevé des diamètres et des poids d'une grande variété de royales françaises. Pour les écus de 1743 à 1771 (mais je ne sais plus sur combien d'exemplaires), j'avais relevé des diamètres de 38 à 43 mm et des poids de 23,3 à 29,3 grammes. Je m'étais basé quasi-exclusivement sur les monnaies alors en vente chez CGB, donc aucune épave; et sur les monnaies prises ailleurs sur des sites fournissant des mesures sérieuses, j'avais aussi exclu tout ce qui était trop délabré pour être représentatif : donc aucune monnaie lacunaire dans ces statistiques et que des monnaies identifiables.
  19. Guillaume Hermann

    1767 écu

    A mon avis c'est une authentique très usée. Si elle était fausse, en tout cas, ce serait une fausse probablement d'époque, et certainement pas une fausse de provenance chinoise. Mais l'authentique est le plus probable.
  20. De toute façon, tranche striée... Pas la peine d'entamer ton crédit de bienveillance auprès du bijoutier, garde ton capital psychologique pour faire peser des monnaies plus sérieuses. Les grands modules d'argent dans la famille du thaler et de l'écu (tous pays) sont la cible privilégiée, et longtemps peut-être unique (en matière de numismatique occidentale) des faussaires chinois. Il est vrai que depuis quelques temps, ils se sont tellement développés qu'il devient difficile de parler de cible privilégiée : on les voit sévir en matière de médiévales, de Guiraud... Et en tous métaux vrais ou faux.
  21. Ca aura au moins eu le mérite de me faire découvrir ce type que j'ignorais totalement. Achat très probablement récent : moins de 15 ans. Cette brave monnaie t'aura fait voir du monde : italienne, pour l'Erythrée, et fabriquée en Chine
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