Guillaume Hermann

C'est bien ça, sur flan très court pour la première, et de nombreuses variantes existent http://www.numishop.eu/fiche-bga_131961 ... _J_C_.html

Oui, dite "au style flamboyant".

Bonjour, Je n'ai pas d'autre identification à proposer, mais je suis très peu convaincu par la drachme de Bridier http://www.google.fr/search?safe=off&hl ... nZhYG-a8qE

Bonjour, Ca ressemble à un douzain mais extrêmement rogné, ceci dit le revers ne correspond pas exactement http://www.google.fr/search?safe=off&hl ... vkDTlmNUgo Diamètre, épaisseur, si possible poids ?

Selon Wiki "Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom d'Arnay-sur-Arroux. Elle fut chef-lieu du district d'Arnay-sur-Arroux de 1790[informations douteuses] à 1800." Donc je suppose qu'elle a repris son nom au plus tard en 1800, sinon dès 1795. Lyon a changé de nom en 1793 et a repris son nom dès 1794, mais Bar-le-Duc seulement en 1815. "A partir de 1798 la plupart des anciens noms commencent à être rétablis. Port Malo redevient Saint Malo en 1800, Bourg-Égalité redevient Bourg-la-Reine en 1812, etc. Sur la totalité des lieux débaptisés seules 2 villes conservent leur nom révolutionnaire (Brienon-l'Évèque reste Brienon-sur-Armençon et l'île Bourbon reste l'île de la Réunion)." http://marcophilie.org/mqp-revolutionnaire.html

TB Sur le monnayage des Dombes http://monnaiesdeladombes.blogspot.fr/

Bonjour, Si ce bouton est de la première révolution, il est d'entre 1789 et 1792, mais il ne faut pas négliger la possibilité que la section d'Arnay-le-Duc de la Garde nationale, laquelle Garde nationale a duré jusqu'en 1871, ait porté le nom de "milice nationale" encore au XIXème siècle. Tous les boutons militaires ou para-militaires fin XVIIIème que j'ai vus étaient beaucoup plus grossiers, une tôle frappée avec l'attache soudée au dos, même s'il faut garder à l'esprit que les milices étaient constituées de bourgeois et assez autonomes dans leur équipement, par conséquent ceux d'Arnay ont pu avoir les moyens et l'envie de s'habiller plus chic. En tout cas voici un bouton sur le même procédé de fabrication que le tien et qui est de la garde nationale 1815-1830 http://boutonancien.forumactif.com/t182 ... e-18151830

Je t'en prie. J'ai mis tes 3 sujets dans "médailles de table" puisque c'en sont

Bonsoir, Encore un duc de Lorraine et marquis, mais la légende est illisible. Je penche pour FREDERICVS I donc Frédéric Ier http://fr.wikipedia.org/wiki/Fr%C3%A9d% ... e_Lorraine bien que je ne le trouve pas cité comme marquis.

Bonsoir, SIMONI.D.G.DVX.LOTH.ET.MARCHIO = « Simon par la grâce de Dieu duc de Lorraine et marquis », c’est-à-dire responsable d’une marche, qui est un fief frontalier : ici la marche de Lorraine. Manifestement la même série que l’autre médaille, mais pas de résultat par Google avec cette légende latine contrairement à ta première médaille. Je ne sais pas s’il s’agit de Simon Ier http://fr.wikipedia.org/wiki/Simon_Ier_de_Lorraine ou de Simon II http://fr.wikipedia.org/wiki/Simon_II_de_Lorraine , mais il semble que Simon II n’était pas marquis donc plutôt ici Simon Ier.

Elle a l'air d'avoir un champ granuleux, est-elle authentique ?

Bonsoir, MARGARETA.DE.IOINVILA COMITISSA.VADEMONTANA C’est Marguerite de Joinville, Comtesse de Vaudémont. La médaille d’origine gravée par Ferdinand de Saint-Urbain date des environs de 1720 selon une source, entre 1727 et 1731 selon une autre, elle est en bronze mais avec un large listel au-delà du grènetis absent sur ton objet ; diamètres 46 mm en bronze, 40 mm pour toi, ça fait une différence de 3 mm de rayon donc je pense que la taille des gravures est la même. Cette médaille fait partie d’une série dite « suite ducale » ou « médaillier de Lorraine », connue uniquement en argent et en bronze pour ce qui est des versions achevées. A noter au sujet des diamètres (deuxième lien) : « De cette série comme des autres, les monnaies et jetons exceptés, il n'est pas rare de rencontrer des pièces dont les bords n'ont pas été façonnés. Ce sont probablement les dernières frappées à la monnaie de Nancy. Restées en cet état après la mort de Saint-Urbain, elles durent être, comme les autres, partagées entre son fils et ses deux filles, et plus tard dispersées », et il existe des épreuves en plomb et en étain. http://www.historicalartmedals.com/MEDA ... -BW766.htm http://www.archive.org/stream/memoiresd ... i_djvu.txt (plusieurs dizaines de pages, je n’ai pas tout lu) Un exemplaire conservé à Glasgow http://www.huntsearch.gla.ac.uk/cgi-bin ... Code=GLAHM Et une étude… pour ceux qui lisent le croate ! http://www.academia.edu/1839468/Povijes ... int-Urbain Reste à savoir si ton objet est une épreuve d’époque ou un moulage plus récent.

Essaye quand même ! Ses deux faces en bonne qualité.

Tu peux en faire une plus correcte juste de la monnaie entourée ? Avec ses deux faces, mais juste cette monnaie-là.

Il va falloir faire le ménage dans les dates de l'Hégire sur le forum, parce que dans les sujets proposés ci-dessous, 1277 c'était 1876...

Je t'avais demandé les faces avec la fleur, jusqu'à 500 Ko avec possibilité de faire une photo par monnaie, et tu mets les faces avec Saint Jean-Baptiste à 100 Ko pour 5 ensemble... Donc on ne peut pas avancer.

Photo ?

Le monsieur veut dire 1277 de l'Hégire, donc 1861 pour nous, et il faut y ajouter l'année de règne que je ne sais pas lire. Au final, entre 1861 et 1867 http://fr.numista.com/catalogue/pieces27524.html

Bonjour, La demande a été transmise à un collectionneur spécialisé dans l’histoire des trains que j’appelerai F. Il "ne pense pas que ça puisse être celui d'un marteau brise-vitre, sans doute apparu trop récemment, ou encore d'une poignée de signal d'alarme ou de volant de frein, mais il se souvient bien de tout cela, qu'il a connu dans les trains de son jeune temps. Il pourrait par contre s'agir du plomb avec lequel, chaque soir, avant le passage du dernier train, le chef de toute gare de petite ou moyenne importance, mais procédant à la vente de billets, scellait la "boîte à finance", caisse métallique à double serrure, d'un format légèrement supérieur au A4 dans le sens de la hauteur, avec une poignée sur le dessus et des compartiments à l'intérieur, après y avoir placé la recette de la journée; la boîte ainsi scellée était ensuite chargée dans le dernier train, qui l'acheminait vers une gare plus importante où l'argent était récupéré et mis en lieu sûr. C'est un peu le principe de ce que l'on appelait "la grosse caisse" à la RATP, si ce n'est que c'était une rame de métro spéciale qui se chargeait du travail de collecte chaque soir. J'imagine que, le lendemain matin, la boîte regagnait sa gare d'origine par le premier train. Le renseignement lui a été donné autrefois par un vieux cheminot dunkerquois. F. possède la "boîte à finance" de la gare de Wattignies-Templemars et propose d'en envoyer la photo; il a possédé aussi celle de la gare de Leffrincoucke et pense l'avoir revendue, faute de la voir au moment où nous discutions. Cette piste pourrait expliquer la taille du plomb en question." Je vais essayer d'obtenir la photo de la boîte.

Bonjour, A mon avis c'est le haut du W de Lille à droite de la date et la pointe supérieure de l'étoile du directeur à gauche de la date http://www.numishop.eu/fiche-bry_166834 ... _1792.html Etat, je dirais TB.

Le champ "rangement", très utile. Par contre, si tu fais une liste des différents émetteurs de monnaie possibles à travers l'Histoire, tu vas te retrouver (comme dit je crois par Avl sur un autre topic du projet) avec une liste interminable (300 émetteurs, voire plus, avec le problème des différents anciens Etats aujourd'hui unis en un seul (Allemagne ou Italie par exemple) ou provinces de pays déjà unis mais qui émettaient leurs propres monnaies quand même (Chine par exemple)), et le système féodal dans toute l'Europe. Donc je pense qu'il vaudrait mieux laisser chaque utilisateur créer lui-même sa liste d'émetteurs. Tu pourrais peut-être, si ce n'est pas trop compliqué ou long, mettre par défaut une liste des Etats actuels dans laquelle chaque utilisateur pourrait enlever ou ajouter des noms (en conservant un ordre logique, par exemple alphabétique d'Etats actuels au sein de chaque continent, et le cas échéant alphabétique d'anciens Etats ou provinces au sein de chaque Etat actuel).

Alors c'est 32 et non 52.

Les Porlier étaient des ébénistes du faubourg Saint-Antoine déjà au XVIIIème siècle http://books.google.fr/books?id=xThI1O_ ... is&f=false

C'est bien le 34 http://www.cgb.fr/industrie-du-bois-por ... 105,a.html

Bonjour, Le 52 est apparemment juste à l'angle ou en tout cas tout près de l'angle (s'il existe un 54, voir ci-dessous) de la rue de Montmorency et de la rue Saint-Martin (Paris 3ème). Au 51 c'est la maison de Nicolas Flamel ! http://fr.wikipedia.org/wiki/Rue_de_Montmorency Porlier avait aussi un établissement au 34 http://monnaies.delcampe.fr/page/item/i ... age,F.html mais en cliquant sur la photo de ce jeton très abîmé, on dirait plutôt 54.