Allemagne 1612-1613 schilling (Jülich-Clèves-Berg)

[hpdp]

Marie-Eléonore de Clèves Ezzonides

http://gw5.geneanet.org/soudet2?lang=fr ... =ezzonides

Née le 16 juin 1550 (vendredi) - Clèves, Clèves, Düsseldorf, Rhénanie-du-Nord-Westphalie, Allemagne

Mariée le 14 octobre 1573 (dimanche), Kaliningrad (Königsberg), Kaliningrad, Russie, avec Albert-Frédéric de Brandebourg de Hohenzollern, duc de Prusse 1553-1618

Décédée le 1er juin 1608 (dimanche) - Kaliningrad (Königsberg), Kaliningrad, Russie , à l’âge de 57 ans

n'avait que des soeurs, n'a eu que des filles

je doute qu'elle ait émis à son nom, c'est probablement un hommage de son époux.

merci à alm pour le lien wiki

[ALM]

Bizarre

ma réponse a disparu alors je la remet :

CLEVES SHILLING 1612-1615

KM 17

Environ 40 euro dans cet état

trouvée dans le WORLD COINS !

http://www.google.fr/imgres?q=SHILLING+ ... ,r:13,s:25

[hpdp]

et finalement : schilling de jülich-berg 1609

http://www.coinarchives.com/w/lotviewer ... 143cddf273

je ne trouve pas la légende complète

Possidierende Fürsten signifie possession princière

Am Niederrhein setzte sich zu Beginn des 17. Jahrhunderts der Stüber durch, zuerst im Klevischen, bald aber auch in Jülich und Berg in Konkurrenz zum rheinischen Albus. Besonders zur Zeit des Erbfolgestreits, als nach dem Tod des letzten kinderlosen Herzogs Johann Wilhelm von Jülich-Kleve-Berg (1609) die Erbanwärter aus den Häusern Brandenburg und Pfalz-Neuburg die Prägung unter dem Namen possidierende Fürsten fortsetzten, gewann der Stüber an Boden. Vor allem Brandenburg ließ für Kleve Schillinge zu sechs Stüber prägen, die Blamüser genannt wurden. In Lingen und Teilen des münsterländischen Emslands sowie in der Grafschaft Bentheim setzte sich die Stüber-Rechnung ebenfalls durch. Am Niederrhein verdrängte zu Beginn des 18. Jahrhunderts der Stüber allmählich den Albus.

Au bas Rhin au début du 17ème siècle le Stüber s'imposait, d'abord dans à Clèves, bientôt cependant aussi à Jülich & Berg dans la compétition contre l'Albus rhénan. Particulièrement à l'époque de la discussion d'ordre héréditaire, quand après la mort du dernier duc sans enfants Johann Wilhelm von Jülich-Kleve-Berg (1609) continuaient les candidats héréditaires des maisons Brandebourg et Neuburg de Palatinat l'empreinte(estampage) sous le nom les princes possidierende, gagnait le Stüber en terre(sol). Avant tout Brandebourg faisait graver(caractériser) pour Clèves des schillings à six Stüber qui étaient appelés Blamüser. Dans Lingen et parties münsterländischen Emslands ainsi que dans le comté de Bentheim s'imposait également le compte de Stüber. Au Rhin bas le Stüber évinçait au début du 18ème siècle graduellement l'Albus.

[malicia]

Bravo à hpdp et à ALM

[requiem32]

Merci beaucoup a vous tous

et surtout à hpdp et ALM

Merci encore

[Figleaf]

Schilling sans date (1612-1613) de Jülich-Kleef-Berg.

Peter

[ALM]

bonjour à tous

Kleef = CLEVES ?

[Figleaf]

En effet (quatrième et cinquième quartier de l'écu).

Possidierende Fürsten ne signifie pas possession princière mais les princes en possession (du comté). C'est plutôt une expression qui reflète une situation politique compliquée. Après la mort sans laisser des enfants du comte Johann Wilhelm en 1609, de maintes parties contestent la possession du comté: l'empereur du saint empire Rudolf II, Philippe-Louis de Pfalz-Neuburg, Sigismund de Brandenbourg, le comte de Zweibrücken et cinq autres.

L'empereur (catholique) a envoyé une petite armée, raison pour la République des Sept Pays-Bas Unis d'occuper la ville de Kleef (protestante) et ses environs. Pour la République, seul Sigismund (catholique, mais prêt à maintenir le protestantisme) et Philippe-Louis (encore protestant) étaient acceptable. L'armée de l'empereur est vaincu et par le traité de Xanten, le comté est partagé entre ces deux princes (les possidierende Fürsten): Brandenbourg a obtenu Kleef, Mark et Ravensbourg et Pfalz-Neuburg obtient Jülich et Berg.

Ce n'est pas la fin des complications pour Kleef, mais ça suffit pour comprendre la monnaie. Jusqu'à 1938, la majorité de la population de Rees et Kleef a parlé Néerlandais et à Amsterdam, on trouve toujours le restaurant "Die Port van Kleve" (la porte de Clèves), que pas mal de soldats Néerlandais ont gardé sentinelle.

Peter